L'Effet Cathedrale
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- Nombre de pages348
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.332 kg
- Dimensions14,1 cm × 20,6 cm × 2,2 cm
- ISBN2-07-073620-2
- EAN9782070736201
- Date de parution01/12/1994
- CollectionBlanche
- ÉditeurGallimard
Résumé
"C'était un homme grand et mince, laid peut-être, mais très vite vous ne remarquiez plus sa laideur : émanait de lui une sympathie directe et franche ; vous ne pouviez que l'aimer. Gérard Vedrouille souvent souriait, mais son sourire semblait terni par une blessure secrète. Je l'avais connu dans la société d'assurances où il travaillait, et comme tout le monde, très vite, je me suis entiché de lui.
Mais je n'aurais jamais pu deviner ou croire qu'il serait un jour réalisateur de film, et que son unique long métrage, L'espion qui s'en va, aurait pour moi, plus tard, une telle importance. Surtout, je n'aurais jamais pu croire qu'il allait mourir, si vite, si jeune. A l'époque, Gérard Vedrouille avait l'air éternel".
Mais je n'aurais jamais pu deviner ou croire qu'il serait un jour réalisateur de film, et que son unique long métrage, L'espion qui s'en va, aurait pour moi, plus tard, une telle importance. Surtout, je n'aurais jamais pu croire qu'il allait mourir, si vite, si jeune. A l'époque, Gérard Vedrouille avait l'air éternel".
"C'était un homme grand et mince, laid peut-être, mais très vite vous ne remarquiez plus sa laideur : émanait de lui une sympathie directe et franche ; vous ne pouviez que l'aimer. Gérard Vedrouille souvent souriait, mais son sourire semblait terni par une blessure secrète. Je l'avais connu dans la société d'assurances où il travaillait, et comme tout le monde, très vite, je me suis entiché de lui.
Mais je n'aurais jamais pu deviner ou croire qu'il serait un jour réalisateur de film, et que son unique long métrage, L'espion qui s'en va, aurait pour moi, plus tard, une telle importance. Surtout, je n'aurais jamais pu croire qu'il allait mourir, si vite, si jeune. A l'époque, Gérard Vedrouille avait l'air éternel".
Mais je n'aurais jamais pu deviner ou croire qu'il serait un jour réalisateur de film, et que son unique long métrage, L'espion qui s'en va, aurait pour moi, plus tard, une telle importance. Surtout, je n'aurais jamais pu croire qu'il allait mourir, si vite, si jeune. A l'époque, Gérard Vedrouille avait l'air éternel".