L'effacement. Récit d'un féminicide sous l'Ancien Régime : l'assassinat de la dame d'Entrecasteaux, Aix-en-Provence 30 mai 1784

Par : Sophie Bergaglio
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  • Nombre de pages236
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.458 kg
  • Dimensions15,0 cm × 24,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN979-10-97510-01-5
  • EAN9791097510015
  • Date de parution01/07/2020
  • CollectionLumières de Provence
  • ÉditeurEditions des lilas

Résumé

Le 30 mai 1784, dans un hôtel particulier situé sur le Cours le plus passant et le plus huppé d'Aix-en-Provence, Angélique de Castellane, héritière d'une vieille famille de la noblesse provençale est retrouvée assassinée dans son lit. L'autopsie conclut que le crime a été commis durant la nuit par une main forte et armée d'un instrument tranchant. Rapidement les preuves s'accumulent contre le mari, Jean-Baptiste Bruny d'Entrecasteaux mais les questions se posent.
Pourquoi ce jeune membre d'une riche famille de la noblesse parlementaire aixoise aurait-il commis l'acte froid et prémédité d'assassiner sa femme ? Le Parlement de Provence dont il est l'un des présidents, est chargé de mener l'instruction judiciaire. Les commissaires chargés de l'enquête pourront-ils garder une attitude probe et intègre dans une société où les liens de solidarité sont plus forts que le justice ? En faisant le récit de ce féminicide, construit à partir des archives du procès conservée aux archives départementales des Bouches-du-Rhône, se dévoilent les ombres de la haute société aixoise à la veille de la Révolution.
Le 30 mai 1784, dans un hôtel particulier situé sur le Cours le plus passant et le plus huppé d'Aix-en-Provence, Angélique de Castellane, héritière d'une vieille famille de la noblesse provençale est retrouvée assassinée dans son lit. L'autopsie conclut que le crime a été commis durant la nuit par une main forte et armée d'un instrument tranchant. Rapidement les preuves s'accumulent contre le mari, Jean-Baptiste Bruny d'Entrecasteaux mais les questions se posent.
Pourquoi ce jeune membre d'une riche famille de la noblesse parlementaire aixoise aurait-il commis l'acte froid et prémédité d'assassiner sa femme ? Le Parlement de Provence dont il est l'un des présidents, est chargé de mener l'instruction judiciaire. Les commissaires chargés de l'enquête pourront-ils garder une attitude probe et intègre dans une société où les liens de solidarité sont plus forts que le justice ? En faisant le récit de ce féminicide, construit à partir des archives du procès conservée aux archives départementales des Bouches-du-Rhône, se dévoilent les ombres de la haute société aixoise à la veille de la Révolution.