L'écriture familiale des mémoires. Noblesse (1570 - 1750)
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- Nombre de pages376
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.51 kg
- Dimensions15,5 cm × 23,5 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-7453-5374-0
- EAN9782745353740
- Date de parution27/08/2020
- CollectionLumière classique
- ÉditeurHonoré Champion
Résumé
Souvent, les Mémoires sont intégrés à la pratique des écrits du for privé, intimes et personnels. Le présent ouvrage envisage l'écriture des mémorialistes nobles de la seconde moitié du XVIe siècle à la première moitié du XVIIIe siècle à l'aune d'une écriture de l'idéal familial. La famille permet ainsi de lire ces textes pour y voir non plus exclusivement l'expression d'un " je " singulier, mais d'une identité à la fois singulière et collective.
Les mémorialistes de la Première Modernité, de Monluc à Saint-Simon, investissent, dans leurs ouvrages, un espace au sein duquel refonder les valeurs de la lignée noble pour affirmer une image d'eux-mêmes au sein de l'espace social et curial. A cet effet, ils fabriquent un récit familial, une légende de la maison à transmettre au gré de mythes familiaux, de généalogies, de motifs qui participent d'une " mémoire artificielle " à valeur lignagère.
Les mémorialistes de la Première Modernité, de Monluc à Saint-Simon, investissent, dans leurs ouvrages, un espace au sein duquel refonder les valeurs de la lignée noble pour affirmer une image d'eux-mêmes au sein de l'espace social et curial. A cet effet, ils fabriquent un récit familial, une légende de la maison à transmettre au gré de mythes familiaux, de généalogies, de motifs qui participent d'une " mémoire artificielle " à valeur lignagère.
Souvent, les Mémoires sont intégrés à la pratique des écrits du for privé, intimes et personnels. Le présent ouvrage envisage l'écriture des mémorialistes nobles de la seconde moitié du XVIe siècle à la première moitié du XVIIIe siècle à l'aune d'une écriture de l'idéal familial. La famille permet ainsi de lire ces textes pour y voir non plus exclusivement l'expression d'un " je " singulier, mais d'une identité à la fois singulière et collective.
Les mémorialistes de la Première Modernité, de Monluc à Saint-Simon, investissent, dans leurs ouvrages, un espace au sein duquel refonder les valeurs de la lignée noble pour affirmer une image d'eux-mêmes au sein de l'espace social et curial. A cet effet, ils fabriquent un récit familial, une légende de la maison à transmettre au gré de mythes familiaux, de généalogies, de motifs qui participent d'une " mémoire artificielle " à valeur lignagère.
Les mémorialistes de la Première Modernité, de Monluc à Saint-Simon, investissent, dans leurs ouvrages, un espace au sein duquel refonder les valeurs de la lignée noble pour affirmer une image d'eux-mêmes au sein de l'espace social et curial. A cet effet, ils fabriquent un récit familial, une légende de la maison à transmettre au gré de mythes familiaux, de généalogies, de motifs qui participent d'une " mémoire artificielle " à valeur lignagère.




