Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Contrairement à l'idée naïve qui verrait dans le cinéma un art de l'espace, et de l'espace seul, l'essentiel du cinéma se joue en terme de temps...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 27 septembre et le 1 octobre
En librairie
Résumé
Contrairement à l'idée naïve qui verrait dans le cinéma un art de l'espace, et de l'espace seul, l'essentiel du cinéma se joue en terme de temps : ne s'agit-il pas de rendre manifeste l'indissociable unité de l'espace et du temps ? C'est pourquoi, au-delà du simple mouvement des corps et des images, le mouvement même de l'Apparaître constitue l'un des enjeux de la représentation cinématographique. Nuages, brouillards, reflets divers et multiples de l'eau et des miroirs, ce ne sont là que les signes ambigus d'une vocation plus secrète : donner à voir quelque chose du temps, faire coïncider dans une hypothétique unité représentation et événement.
En s'abandonnant ainsi aux puissances du temps, le cinéma nous le rend sensible. L'Ecran du temps propose donc d'observer le parcours de cette expérience théorique que constitue, à sa façon, un film. De ces questions, Epstein, Godard, Ozu, Antonioni, Wenders eurent, entre autres réalisateurs, la conscience la plus aiguë. Ni compilation anthologique, ni succession de monographies, cet essai se propose plus simplement de leur rendre hommage, pour ce qu'ils nous auront offert : le plaisir de la pensée.