L'école fragmentée. Division du travail et inégalités dans l'école primaire
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- Nombre de pages264
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.27 kg
- Dimensions12,5 cm × 19,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-13-081438-2
- EAN9782130814382
- Date de parution03/04/2019
- CollectionEducation et société
- ÉditeurPUF
Résumé
Enzo, 8 ans, passe chaque jour près de dix heures à l'école, découpées en une série d'activités d'une durée d'un quart d'heure à une heure. Du lundi matin au vendredi soir, il est encadré par huit personnes différentes en moyenne, près de vingt-cinq avec les récréations. Pendant la semaine, il est avec son enseignante à peine plus de la moitié de son temps d'école, et un quart avec des animateurs municipaux, le reste du temps étant partagé entre divers intervenants.
Ce constat, s'il peut sembler commun aux habitués des écoles primaires, a de quoi surprendre. Il montre que le modèle de la division du travail, généralement associé au collège, est en réalité devenu une norme pour de nombreux élèves dès l'entrée à l'école, a fortiori depuis la réforme des rythmes scolaires de 2013. L'objet de cet ouvrage est d'interroger ce fonctionnement, de tenter d'en comprendre les raisons, d'en peser les conséquences, notamment en termes d'inégalités scolaires, et de se demander ce que l'adoption d'un tel modèle révèle de l'école et de son rôle dans la société.
Ce constat, s'il peut sembler commun aux habitués des écoles primaires, a de quoi surprendre. Il montre que le modèle de la division du travail, généralement associé au collège, est en réalité devenu une norme pour de nombreux élèves dès l'entrée à l'école, a fortiori depuis la réforme des rythmes scolaires de 2013. L'objet de cet ouvrage est d'interroger ce fonctionnement, de tenter d'en comprendre les raisons, d'en peser les conséquences, notamment en termes d'inégalités scolaires, et de se demander ce que l'adoption d'un tel modèle révèle de l'école et de son rôle dans la société.
Enzo, 8 ans, passe chaque jour près de dix heures à l'école, découpées en une série d'activités d'une durée d'un quart d'heure à une heure. Du lundi matin au vendredi soir, il est encadré par huit personnes différentes en moyenne, près de vingt-cinq avec les récréations. Pendant la semaine, il est avec son enseignante à peine plus de la moitié de son temps d'école, et un quart avec des animateurs municipaux, le reste du temps étant partagé entre divers intervenants.
Ce constat, s'il peut sembler commun aux habitués des écoles primaires, a de quoi surprendre. Il montre que le modèle de la division du travail, généralement associé au collège, est en réalité devenu une norme pour de nombreux élèves dès l'entrée à l'école, a fortiori depuis la réforme des rythmes scolaires de 2013. L'objet de cet ouvrage est d'interroger ce fonctionnement, de tenter d'en comprendre les raisons, d'en peser les conséquences, notamment en termes d'inégalités scolaires, et de se demander ce que l'adoption d'un tel modèle révèle de l'école et de son rôle dans la société.
Ce constat, s'il peut sembler commun aux habitués des écoles primaires, a de quoi surprendre. Il montre que le modèle de la division du travail, généralement associé au collège, est en réalité devenu une norme pour de nombreux élèves dès l'entrée à l'école, a fortiori depuis la réforme des rythmes scolaires de 2013. L'objet de cet ouvrage est d'interroger ce fonctionnement, de tenter d'en comprendre les raisons, d'en peser les conséquences, notamment en termes d'inégalités scolaires, et de se demander ce que l'adoption d'un tel modèle révèle de l'école et de son rôle dans la société.