L'école de Francfort et la critique de la modernité. Le paradoxe de l'oeuvre d'art
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- Nombre de pages136
- PrésentationBroché
- Poids0.17 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-343-06158-0
- EAN9782343061580
- Date de parution01/04/2015
- CollectionOuverture philosophique
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Réalité autonome et fait social par excellence, l'oeuvre d'art est le produit de la société sans pour autant en être une pure copie, traduisant l'ordre établi. Entité utopique, l'oeuvre d'art est l'antidote au désenchantement généralisé du monde, effet induit de la modernité. Comme tel, elle est promesse de liberté et de bonheur authentiques dans un univers de production-reproduction, soumis au principe du rendement.
Et, dans un monde pris par les rets d'une mondialisation technocapitaliste et totalitaire, où l'identité individuelle n'est qu'un simple mot, il est impérieux de penser, avec les théoriciens de l'école de Francfort, le caractère subversif et utopique de l'art si l'on veut endiguer les avatars de la modernité.
Et, dans un monde pris par les rets d'une mondialisation technocapitaliste et totalitaire, où l'identité individuelle n'est qu'un simple mot, il est impérieux de penser, avec les théoriciens de l'école de Francfort, le caractère subversif et utopique de l'art si l'on veut endiguer les avatars de la modernité.
Réalité autonome et fait social par excellence, l'oeuvre d'art est le produit de la société sans pour autant en être une pure copie, traduisant l'ordre établi. Entité utopique, l'oeuvre d'art est l'antidote au désenchantement généralisé du monde, effet induit de la modernité. Comme tel, elle est promesse de liberté et de bonheur authentiques dans un univers de production-reproduction, soumis au principe du rendement.
Et, dans un monde pris par les rets d'une mondialisation technocapitaliste et totalitaire, où l'identité individuelle n'est qu'un simple mot, il est impérieux de penser, avec les théoriciens de l'école de Francfort, le caractère subversif et utopique de l'art si l'on veut endiguer les avatars de la modernité.
Et, dans un monde pris par les rets d'une mondialisation technocapitaliste et totalitaire, où l'identité individuelle n'est qu'un simple mot, il est impérieux de penser, avec les théoriciens de l'école de Francfort, le caractère subversif et utopique de l'art si l'on veut endiguer les avatars de la modernité.