L'école de Diawar et l'éducation au Sénégal

Par : Olivier Clairat

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  • Nombre de pages339
  • PrésentationBroché
  • Poids0.6 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,0 cm
  • ISBN978-2-296-03624-6
  • EAN9782296036246
  • Date de parution01/06/2007
  • CollectionEtudes africaines
  • ÉditeurL'Harmattan
  • PréfacierJean Le Gal

Résumé

Réaliser l'éducation pour tous est depuis 1990 une des priorités de la Communauté internationale et une enjeu majeur pour améliorer la situation sociale et économique des habitants les plus pauvres de la planète. Pourtant, environ cent millions d'enfants ne fréquentent toujours pas en 2007 une école primaire. L'Afrique subsaharienne est la région du globe où les taux de scolarisation sont les plus faibles et les abandons les plus nombreux, où les filles éprouvent de grosses difficultés à poursuivre leurs études.
Dès la fin des années 80, des enseignants, des éducateurs, des habitants d'un village, puis ceux d'un quartier d'une ville moyenne ont décidé de prendre en main leur situation éducative. Ils tentent de pallier les carences du système éducatif et d'offrir à leurs enfants une éducation de qualité. Leurs résultats sont assez surprenants, puisqu'ils sont parvenus, pour les uns à scolariser tous les enfants de leur village, pour les autres à développer de nombreuses alternatives à l'exclusion scolaire.
Leurs pratiques éducatives ne se limitent pas à la pédagogie : elles ont également des conséquences sur la vie de leur village ou de leur quartier. La géographie s'est peu intéressée à l'éducation, et ce travail s'efforce d'apporter un point de vue géographique sur un aspect social majeur.
Réaliser l'éducation pour tous est depuis 1990 une des priorités de la Communauté internationale et une enjeu majeur pour améliorer la situation sociale et économique des habitants les plus pauvres de la planète. Pourtant, environ cent millions d'enfants ne fréquentent toujours pas en 2007 une école primaire. L'Afrique subsaharienne est la région du globe où les taux de scolarisation sont les plus faibles et les abandons les plus nombreux, où les filles éprouvent de grosses difficultés à poursuivre leurs études.
Dès la fin des années 80, des enseignants, des éducateurs, des habitants d'un village, puis ceux d'un quartier d'une ville moyenne ont décidé de prendre en main leur situation éducative. Ils tentent de pallier les carences du système éducatif et d'offrir à leurs enfants une éducation de qualité. Leurs résultats sont assez surprenants, puisqu'ils sont parvenus, pour les uns à scolariser tous les enfants de leur village, pour les autres à développer de nombreuses alternatives à l'exclusion scolaire.
Leurs pratiques éducatives ne se limitent pas à la pédagogie : elles ont également des conséquences sur la vie de leur village ou de leur quartier. La géographie s'est peu intéressée à l'éducation, et ce travail s'efforce d'apporter un point de vue géographique sur un aspect social majeur.