L'aveuglement. L'affaire Kravchenko

Par : Etienne Jaudel

Formats :

Actuellement indisponible
Cet article est actuellement indisponible, il ne peut pas être commandé sur notre site pour le moment. Nous vous invitons à vous inscrire à l'alerte disponibilité, vous recevrez un e-mail dès que cet ouvrage sera à nouveau disponible.
  • Nombre de pages332
  • PrésentationBroché
  • Poids0.45 kg
  • Dimensions14,0 cm × 22,0 cm × 1,8 cm
  • ISBN2-912673-25-9
  • EAN9782912673251
  • Date de parution01/10/2003
  • ÉditeurMichel Houdiard Editeur

Résumé

Avocat à la Cour d'Appel de Paris, ancien Secrétaire Général de la Fédération Internationale des Ligues des Droits de l'Homme (F.I.D.H.) avec laquelle il continue à collaborer, c'est en avocat et en militant des Droits de l'Homme qu'Etienne Jaudel analyse le célèbre procès qui a opposé en 1949 Victor Kravchenko à l'hebdomadaire communiste Les Lettres Françaises. Grace à un grand nombre de documents inédits et à la sténographie des audiences, il tente de comprendre l'aveuglement des communistes vis-à-vis des crimes contre l'humanité commis par le régime stalinien, un aveuglement qu'ils ont réussi à faire partager par le tribunal et par l'opinion. Il faudra encore cinquante ans pour qu'ils soient définitivement reconnus comme tels. Pour discréditer Victor Kravchenko, cet homme courageux qui avait osé exposer avec l'aide de rescapés du Goulag, comment Staline avait organisé la famine en Ukraine, ce qu'étaient les purges, les procès truqués et les camps, ils ont usé de moyens directement inspirés par le totalitarisme soviétique. Une dénonciation passionnée de l'intolérance et du fanatisme.
Avocat à la Cour d'Appel de Paris, ancien Secrétaire Général de la Fédération Internationale des Ligues des Droits de l'Homme (F.I.D.H.) avec laquelle il continue à collaborer, c'est en avocat et en militant des Droits de l'Homme qu'Etienne Jaudel analyse le célèbre procès qui a opposé en 1949 Victor Kravchenko à l'hebdomadaire communiste Les Lettres Françaises. Grace à un grand nombre de documents inédits et à la sténographie des audiences, il tente de comprendre l'aveuglement des communistes vis-à-vis des crimes contre l'humanité commis par le régime stalinien, un aveuglement qu'ils ont réussi à faire partager par le tribunal et par l'opinion. Il faudra encore cinquante ans pour qu'ils soient définitivement reconnus comme tels. Pour discréditer Victor Kravchenko, cet homme courageux qui avait osé exposer avec l'aide de rescapés du Goulag, comment Staline avait organisé la famine en Ukraine, ce qu'étaient les purges, les procès truqués et les camps, ils ont usé de moyens directement inspirés par le totalitarisme soviétique. Une dénonciation passionnée de l'intolérance et du fanatisme.