L'aventurier du désert. L'itinéraire de Jules Jacques, entre désert, désir et désertion
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- Nombre de pages167
- PrésentationRelié
- FormatGrand Format
- Poids0.91 kg
- Dimensions22,8 cm × 22,8 cm × 1,8 cm
- ISBN978-2-35639-051-6
- EAN9782356390516
- Date de parution05/10/2010
- ÉditeurElytis
- PhotographeJacques Jules
- IllustrateurJean-Michel Charpentier
Résumé
L'aventure commence lorsque mes grands-parents me font découvrir des photographies du Grand Sud algérien, cachées dans un coffre depuis trois générations. A l'intérieur : des vues stéréoscopiques sur plaques de verre, prises à la fin du XIXe siècle par Jules Jacques (1866-1900), un arrière-grand-oncle, capitaine de l'armée française, parti le sabre à la main dans l'aventure coloniale. Scènes de la vie militaire, villes algériennes, casbahs, oueds ou petit peuple, ces plaques de verre racontent une histoire : celle d'un homme engagé dans les rangs de l'armée française et dont le regard change.
Parti soumettre des rebelles, auxquels la France entend apporter la civilisation, il découvre l'incandescence du désert et la beauté des êtres, s'interroge sur la pertinence de l'entreprise coloniale et photographie les combats. Il meurt le 5 septembre 1900, tué d'une balle en plein coeur. Ses photographies sont alors renvoyées à la famille, dans le petit village jurassien dont il était originaire, avec ses effets personnels et ses carnets de voyage.
Elles y resteront enfermées pendant près d'un siècle, de crainte que les autorités militaires ne viennent réclamer un témoignage qui donne à voir la fragile beauté d'une civilisation décimée et les exactions de la France coloniale...
Parti soumettre des rebelles, auxquels la France entend apporter la civilisation, il découvre l'incandescence du désert et la beauté des êtres, s'interroge sur la pertinence de l'entreprise coloniale et photographie les combats. Il meurt le 5 septembre 1900, tué d'une balle en plein coeur. Ses photographies sont alors renvoyées à la famille, dans le petit village jurassien dont il était originaire, avec ses effets personnels et ses carnets de voyage.
Elles y resteront enfermées pendant près d'un siècle, de crainte que les autorités militaires ne viennent réclamer un témoignage qui donne à voir la fragile beauté d'une civilisation décimée et les exactions de la France coloniale...
L'aventure commence lorsque mes grands-parents me font découvrir des photographies du Grand Sud algérien, cachées dans un coffre depuis trois générations. A l'intérieur : des vues stéréoscopiques sur plaques de verre, prises à la fin du XIXe siècle par Jules Jacques (1866-1900), un arrière-grand-oncle, capitaine de l'armée française, parti le sabre à la main dans l'aventure coloniale. Scènes de la vie militaire, villes algériennes, casbahs, oueds ou petit peuple, ces plaques de verre racontent une histoire : celle d'un homme engagé dans les rangs de l'armée française et dont le regard change.
Parti soumettre des rebelles, auxquels la France entend apporter la civilisation, il découvre l'incandescence du désert et la beauté des êtres, s'interroge sur la pertinence de l'entreprise coloniale et photographie les combats. Il meurt le 5 septembre 1900, tué d'une balle en plein coeur. Ses photographies sont alors renvoyées à la famille, dans le petit village jurassien dont il était originaire, avec ses effets personnels et ses carnets de voyage.
Elles y resteront enfermées pendant près d'un siècle, de crainte que les autorités militaires ne viennent réclamer un témoignage qui donne à voir la fragile beauté d'une civilisation décimée et les exactions de la France coloniale...
Parti soumettre des rebelles, auxquels la France entend apporter la civilisation, il découvre l'incandescence du désert et la beauté des êtres, s'interroge sur la pertinence de l'entreprise coloniale et photographie les combats. Il meurt le 5 septembre 1900, tué d'une balle en plein coeur. Ses photographies sont alors renvoyées à la famille, dans le petit village jurassien dont il était originaire, avec ses effets personnels et ses carnets de voyage.
Elles y resteront enfermées pendant près d'un siècle, de crainte que les autorités militaires ne viennent réclamer un témoignage qui donne à voir la fragile beauté d'une civilisation décimée et les exactions de la France coloniale...