L'autre rivage de la nuit

Par : Stève-Wilifrid Mounguengui
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  • Nombre de pages51
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.08 kg
  • Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 0,5 cm
  • ISBN978-2-37355-746-6
  • EAN9782373557466
  • Date de parution26/05/2022
  • ÉditeurUnicité

Résumé

Avec ce nouveau livre, l'auteur nous parle de lui, de ce pays qu'il a quitté pour rejoindre la France quinze ans plus tôt. Il nous raconte l'histoire d'un être arraché de sa terre natale avec les mots ancrés dans la nostalgie de sa voix. L'ouvrage se lit comme une nouvelle présence au monde jusqu'au moment où "J'allais par cette après-midi-là au Musé des Arts Premiers voir l'expression du monde premier comme on va voir un Cézanne.
Et j'arrivai dans une salle. Et je vis des masques du Mali et d'ailleurs. Des masques dogons. Des masques fangs. Des masques avec des dents sciées, des masques avec des yeux profonds, des statuaires. En moi, monta une tristesse et je sentis se pincer mon coeur. Tout me reliait à ces êtres d'esprit et de bois...". Récit poétique pour mieux fouiller en soi, aller au fonds des choses, et interroger le réel de ce que nous sommes.
On entre dans ce livre comme dans une forêt où chaque pas est une reconquête de soi à travers le temps qui passe. L'auteur écrit dans son post-texte : Quand, comme moi, on est parti depuis quinze ans et que le pays s'efface dans la mémoire, que les souvenirs tombent en ruine, que les visages s'estompent, comme ombres à la clairière, il reste la possibilité d'écrire pour que le monde ne tombe dans l'oubli.
S'il se perdait dans l'oubli, je me perdrais aussi. Sa permanence est aussi mienne en tant qu'être en quête perpétuelle de sens et d'équilibre".
Avec ce nouveau livre, l'auteur nous parle de lui, de ce pays qu'il a quitté pour rejoindre la France quinze ans plus tôt. Il nous raconte l'histoire d'un être arraché de sa terre natale avec les mots ancrés dans la nostalgie de sa voix. L'ouvrage se lit comme une nouvelle présence au monde jusqu'au moment où "J'allais par cette après-midi-là au Musé des Arts Premiers voir l'expression du monde premier comme on va voir un Cézanne.
Et j'arrivai dans une salle. Et je vis des masques du Mali et d'ailleurs. Des masques dogons. Des masques fangs. Des masques avec des dents sciées, des masques avec des yeux profonds, des statuaires. En moi, monta une tristesse et je sentis se pincer mon coeur. Tout me reliait à ces êtres d'esprit et de bois...". Récit poétique pour mieux fouiller en soi, aller au fonds des choses, et interroger le réel de ce que nous sommes.
On entre dans ce livre comme dans une forêt où chaque pas est une reconquête de soi à travers le temps qui passe. L'auteur écrit dans son post-texte : Quand, comme moi, on est parti depuis quinze ans et que le pays s'efface dans la mémoire, que les souvenirs tombent en ruine, que les visages s'estompent, comme ombres à la clairière, il reste la possibilité d'écrire pour que le monde ne tombe dans l'oubli.
S'il se perdait dans l'oubli, je me perdrais aussi. Sa permanence est aussi mienne en tant qu'être en quête perpétuelle de sens et d'équilibre".
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