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- Nombre de pages242
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.195 kg
- Dimensions11,6 cm × 17,7 cm × 1,7 cm
- ISBN979-10-387-0257-8
- EAN9791038702578
- Date de parution04/01/2024
- CollectionZa poche
- ÉditeurZulma
- TraducteurChristophe Balaÿ
Résumé
Leyla, Shabaneh et Rodja se sont rencontrées sur les bancs de l'université à Téhéran. Soudées par un lien indéfectible, elles s'efforcent, envers et contre tout, de mener une vie libre. Leyla s'est mariée avec Misagh et a débuté une carrière de journaliste. Shabaneh est habitée par ses lectures et les souvenirs de la guerre. Rodja vient d'être acceptée en doctorat à Toulouse - il ne lui manque plus que son visa.
Mais cet équilibre fragile vacille quand Misagh part seul pour le Canada. En un été et un automne, entre espoirs et déconvenues, toutes trois affrontent leurs contradictions. Suffit-il de partir pour être libre ? Un reflet sensible et bouleversant de la société iranienne d'aujourd'hui. Une histoire prodigieuse et universelle d'amour et d'amitié.
Mais cet équilibre fragile vacille quand Misagh part seul pour le Canada. En un été et un automne, entre espoirs et déconvenues, toutes trois affrontent leurs contradictions. Suffit-il de partir pour être libre ? Un reflet sensible et bouleversant de la société iranienne d'aujourd'hui. Une histoire prodigieuse et universelle d'amour et d'amitié.
Leyla, Shabaneh et Rodja se sont rencontrées sur les bancs de l'université à Téhéran. Soudées par un lien indéfectible, elles s'efforcent, envers et contre tout, de mener une vie libre. Leyla s'est mariée avec Misagh et a débuté une carrière de journaliste. Shabaneh est habitée par ses lectures et les souvenirs de la guerre. Rodja vient d'être acceptée en doctorat à Toulouse - il ne lui manque plus que son visa.
Mais cet équilibre fragile vacille quand Misagh part seul pour le Canada. En un été et un automne, entre espoirs et déconvenues, toutes trois affrontent leurs contradictions. Suffit-il de partir pour être libre ? Un reflet sensible et bouleversant de la société iranienne d'aujourd'hui. Une histoire prodigieuse et universelle d'amour et d'amitié.
Mais cet équilibre fragile vacille quand Misagh part seul pour le Canada. En un été et un automne, entre espoirs et déconvenues, toutes trois affrontent leurs contradictions. Suffit-il de partir pour être libre ? Un reflet sensible et bouleversant de la société iranienne d'aujourd'hui. Une histoire prodigieuse et universelle d'amour et d'amitié.
Avis librairesCommentaires laissés par les libraires
1 Coup de cœur
de nos libraires
Camille— Decitre Grenoble
4/5
“ L’automne est la dernière saison ”
Exploration intime de la notion de « Partir » à travers les vies de trois jeunes femmes iraniennes, Leyla, Shabaneh et Rodja, amies ultra soudées.
Roman choral qui nous dresse le portrait de la jeunesse iranienne contemporaine : doutes, espoirs, déceptions et réussites dans un pays où les perspectives d’avenir semblent compliquées.
Voir s’en aller un être cher et en souffrir, rester « coincée » par obligation familiale, tout quitter pour faire ses études à l’étranger et vivre son rêve ?
Superbe roman !
Exploration intime de la notion de « Partir » à travers les vies de trois jeunes femmes iraniennes, Leyla, Shabaneh et Rodja, amies ultra soudées.
Roman choral qui nous dresse le portrait de la jeunesse iranienne contemporaine : doutes, espoirs, déceptions et réussites dans un pays où les perspectives d’avenir semblent compliquées.
Voir s’en aller un être cher et en souffrir, rester « coincée » par obligation familiale, tout quitter pour faire ses études à l’étranger et vivre son rêve ?
Superbe roman !
Avis des lecteursCommentaires laissés par nos lecteurs
3/5
“ Iran censuré ”
Nasim Marashi veut continuer à écrire en persan, depuis l'Iran, alors elle se plie à la censure. De ce fait, ses protagonistes semblent étrangement libres, simplement limitées par leur incapacité à se décider. Vu le contexte iranien actuel, il est difficile à comprendre que l'éditeur n'ait pas ajouté une note ou une préface pour contextualiser ce roman, justifier le flou du pays en arrière-plan, l'absence totale d'évocation des répressions (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2023/01/28/lautomne-est-la-derniere-saison-nasim-marashi/)
Nasim Marashi veut continuer à écrire en persan, depuis l'Iran, alors elle se plie à la censure. De ce fait, ses protagonistes semblent étrangement libres, simplement limitées par leur incapacité à se décider. Vu le contexte iranien actuel, il est difficile à comprendre que l'éditeur n'ait pas ajouté une note ou une préface pour contextualiser ce roman, justifier le flou du pays en arrière-plan, l'absence totale d'évocation des répressions (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2023/01/28/lautomne-est-la-derniere-saison-nasim-marashi/)
