"On ne peut qu'être ému par la chaleureuse accolade mexicaine, même si la petite tape au bas du dos sert aussi à s'assurer que tu ne portes pas une arme". On ne peut qu'être impressionnés par le courage qui a permis au sédentaire diariste de l'Autofictif de traverser l'Atlantique pour un séjour à hauts risques dans le pays d'Octavio Paz. Sans autres armes que son carnet de notes, son imposante bibliographie et son Oreja roja en guise de viatique, Eric Chevillard a renoncé à son confort érémitique et couru des risques insensés.
La littérature est à ce prix-là, désormais. L'auteur de Ronce-Rose sait depuis longtemps déjà qu'écrire chaque jour est une véritable aventure. Ce neuvième volume autofictif, explosif cocktail d'intelligence, le prouve.
"On ne peut qu'être ému par la chaleureuse accolade mexicaine, même si la petite tape au bas du dos sert aussi à s'assurer que tu ne portes pas une arme". On ne peut qu'être impressionnés par le courage qui a permis au sédentaire diariste de l'Autofictif de traverser l'Atlantique pour un séjour à hauts risques dans le pays d'Octavio Paz. Sans autres armes que son carnet de notes, son imposante bibliographie et son Oreja roja en guise de viatique, Eric Chevillard a renoncé à son confort érémitique et couru des risques insensés.
La littérature est à ce prix-là, désormais. L'auteur de Ronce-Rose sait depuis longtemps déjà qu'écrire chaque jour est une véritable aventure. Ce neuvième volume autofictif, explosif cocktail d'intelligence, le prouve.