L'aube sanglante. Un artilleur visionnaire dans les tranchées
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- Nombre de pages177
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.37 kg
- Dimensions15,5 cm × 23,5 cm × 1,8 cm
- ISBN978-2-35618-105-3
- EAN9782356181053
- Date de parution01/07/2017
- ÉditeurAmpelos Editions
- PréfacierMarie-Noëlle Bourguet
Résumé
Originaire du Tarn, fils de pasteur, Samuel Bourguet choisit l'artillerie à la sortie de Polytechnique. Ses positions républicaines au moment de l'affaire Dreyfus comme ses théories sur la liaison des armes et sur le soin à porter au bien-être de la troupe lui valent l'animosité d'une partie de sa hiérarchie et entravent sa progression. "Exilé" au Pérou, il revient en France à la déclaration de guerre et, dès octobre 1914, rejoint le front.
Après cinq mois dans l'artillerie, il demande à passer dans l'infanterie : dans les tranchées, au plus près de la réalité de la guerre, il peut enfin mettre en oeuvre ses idées. Il meurt à la tête de son régiment dans les premières minutes de l'offensive de Champagne, le 25 septembre 1915. Esprit ouvert et indépendant, ce protestant marié à une catholique, qui refuse de prier Dieu pour la victoire et respecte la foi de ses fantassins, livre dans ses lettres - restituées ici sans la censure qu'elles avaient connue - un témoignage précieux.
Après cinq mois dans l'artillerie, il demande à passer dans l'infanterie : dans les tranchées, au plus près de la réalité de la guerre, il peut enfin mettre en oeuvre ses idées. Il meurt à la tête de son régiment dans les premières minutes de l'offensive de Champagne, le 25 septembre 1915. Esprit ouvert et indépendant, ce protestant marié à une catholique, qui refuse de prier Dieu pour la victoire et respecte la foi de ses fantassins, livre dans ses lettres - restituées ici sans la censure qu'elles avaient connue - un témoignage précieux.
Originaire du Tarn, fils de pasteur, Samuel Bourguet choisit l'artillerie à la sortie de Polytechnique. Ses positions républicaines au moment de l'affaire Dreyfus comme ses théories sur la liaison des armes et sur le soin à porter au bien-être de la troupe lui valent l'animosité d'une partie de sa hiérarchie et entravent sa progression. "Exilé" au Pérou, il revient en France à la déclaration de guerre et, dès octobre 1914, rejoint le front.
Après cinq mois dans l'artillerie, il demande à passer dans l'infanterie : dans les tranchées, au plus près de la réalité de la guerre, il peut enfin mettre en oeuvre ses idées. Il meurt à la tête de son régiment dans les premières minutes de l'offensive de Champagne, le 25 septembre 1915. Esprit ouvert et indépendant, ce protestant marié à une catholique, qui refuse de prier Dieu pour la victoire et respecte la foi de ses fantassins, livre dans ses lettres - restituées ici sans la censure qu'elles avaient connue - un témoignage précieux.
Après cinq mois dans l'artillerie, il demande à passer dans l'infanterie : dans les tranchées, au plus près de la réalité de la guerre, il peut enfin mettre en oeuvre ses idées. Il meurt à la tête de son régiment dans les premières minutes de l'offensive de Champagne, le 25 septembre 1915. Esprit ouvert et indépendant, ce protestant marié à une catholique, qui refuse de prier Dieu pour la victoire et respecte la foi de ses fantassins, livre dans ses lettres - restituées ici sans la censure qu'elles avaient connue - un témoignage précieux.


