Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Dès la mort de Flaubert, s’est imposée très vite l’idée que les romans éminemment novateurs de cet écrivain constituaient une rupture radicale...
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Livré chez vous entre le 10 octobre et le 24 octobre
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Résumé
Dès la mort de Flaubert, s’est imposée très vite l’idée que les romans éminemment novateurs de cet écrivain constituaient une rupture radicale dans l’histoire de la création littéraire : l’auteur normand semblait avoir rendu caduques, définitivement, les principes esthétiques qui prévalaient avant lui. Et l’unanimité s’est faite, aujourd’hui, pour reconnaître que l’oeuvre de Flaubert marque le début d’une ère nouvelle de la narration et de la représentation : l’auteur de Madame Bovary est le père de la fiction contemporaine, celle qui met notamment l’accent, non sur l’événement raconté, mais sur la manière dont cet événement est raconté. Or, ce roman «nouveau », moderne, connaît bien des problèmes, et l’on entend beaucoup parler de la crise de la fiction en français. D’où cette question, à laquelle le présent essai s’attache à répondre : les réorientations imposées par Flaubert, puis par ses disciples, à la pratique romanesque ont-elles conduit celle-ci dans des voies fécondes ou dans une impasse ?
Maître de recherches à l’Université de Namur (Belgique), Michel Brix est l’auteur d’une trentaine d’ouvrages,essais et éditions, consacrés à la littérature française des XVIIIe et XIXe siècles.