Ainsi commence L'assassinat du mort, où l'on retrouve la plupart des personnages de La chair de la Salamandre (ceux qui ont survécu à la précédente hécatombe) et où l'on découvre quelques petits nouveaux tout aussi gratinés ; où la jolie Breda n'a que son intelligence et son courage pour tenter de résoudre une série de crimes aux motivations pour le moins floues ; où le capitaine Mord-boeuf et le sergent Pasturat ne se privent pas d'accumuler maladresses et répliques plus stupides et délirantes les unes que les autres ; où l'évêque Guillaume de Cardaillac est encore une fois totalement dépassé par les événements ; où le narrateur, enfin, s'amuse toujours plus avec mots et personnages, saupoudrant son récit d'un humour noir parfaitement déjanté...
tout en respectant l'Histoire, avec son grand H.
Ainsi commence L'assassinat du mort, où l'on retrouve la plupart des personnages de La chair de la Salamandre (ceux qui ont survécu à la précédente hécatombe) et où l'on découvre quelques petits nouveaux tout aussi gratinés ; où la jolie Breda n'a que son intelligence et son courage pour tenter de résoudre une série de crimes aux motivations pour le moins floues ; où le capitaine Mord-boeuf et le sergent Pasturat ne se privent pas d'accumuler maladresses et répliques plus stupides et délirantes les unes que les autres ; où l'évêque Guillaume de Cardaillac est encore une fois totalement dépassé par les événements ; où le narrateur, enfin, s'amuse toujours plus avec mots et personnages, saupoudrant son récit d'un humour noir parfaitement déjanté...
tout en respectant l'Histoire, avec son grand H.