Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
" Emile Mâle appartient à ces grands historiens qui ont compris l'art comme une épopée humaine. Pendant dix ans il est allé à la rencontre de l'art...
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" Emile Mâle appartient à ces grands historiens qui ont compris l'art comme une épopée humaine. Pendant dix ans il est allé à la rencontre de l'art comme l'explorateur part à la recherche de nouveaux sites. Il a arpenté la province française, les églises, les couvents, puisé dans le contact direct avec les œuvres pour nous offrir une vision synthétique des images médiévales dans une somme demeurée inégalée. " La Croix.
L'art du XIIe siècle apparaît comme un art monastique, où la miniature a joué un grand rôle. Mais la liturgie, le culte des saints, les pèlerinages, la lutte contre les hérésies, la science et le rêve du moine ont laissé leurs empreintes sur l'iconographie. Le fond est resté oriental, mais s'est enrichi de créations nouvelles. Dès qu'il se crée, l'art du Moyen Age se montre façonné par la pensée, et on voit s'ébaucher ici la savante iconographie du siècle suivant, naître une étonnante sculpture monumentale, se préparer les grands ensembles du XIIIe siècle.
Cet ouvrage reprend dans son intégralité le texte de la 7e édition de 1966. Les annexes ont été révisées et augmentées par Françoise Perrot, directeur de recherche au CNRS. Elles comprennent une bibliographie des ouvrages cités par Emile Mâle, un index des manuscrits, une orientation bibliographique, ainsi qu'un index général des noms de lieux qui actualisent ce texte fondamental.
Emile MÂLE, de l'Académie française et de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, membre de l'Institut, fut professeur à la Sorbonne, puis directeur de l'Ecole française de Rome.