L'art pour un regard différent sur Alzheimer. Créativité, vie sociale, vie psychique
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- Nombre de pages164
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.236 kg
- Dimensions14,7 cm × 22,0 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-36717-597-3
- EAN9782367175973
- Date de parution24/01/2019
- CollectionComprendre les personnes
- ÉditeurChronique Sociale
- PréfacierJacques Gaucher
- PostfacierBernard Ennuyer
Résumé
Vieillir dans notre société actuelle où la mort est sans cesse reculée grâce aux progrès de la médecine, expose les personnes vieillissantes à une exclusion de la sphère sociale. "Vieillir jeune", voilà le paradoxe que nous rencontrons chaque jour. Le regard porté par la société sur la personne âgée et, particulièrement, sur la personne âgée souffrant d'un syndrome déficitaire de type Alzheimer, est un regard péjoratif qui renvoie à la dépendance, la déchéance et la décrépitude.
La maladie d'Alzheimer est souvent définie comme une "maladie du lien", perçue comme une entrave à la communication et à la relation, notamment avec les membres de la famille et le personnel soignant. De fait, la maladie d'Alzheimer engendre des désavantages psychosociaux, puisque ces syndromes entraînent une perte du sentiment d'identité du sujet et les relations intersubjectives s'en trouvent alors perturbées.
"L'individu est un être social" dit le sociologue Norbert Elias. Ainsi, en prenant en compte les effets de stigmatisation de la maladie d'Alzheimer et les représentations sociales que peuvent en avoir les personnes qui entourent la personne malade, il est possible de penser les outils qui permettront, à terme, une mise en relation différente. Les auteures proposent dans cet ouvrage de faire appel à l'art et la culture comme accompagnement du couple aidant/aidé et soignant/soigné dans l'optique de préserver une relation thérapeutique "humaniste" prenant en compte la subjectivité de la personne âgée.
La maladie d'Alzheimer est souvent définie comme une "maladie du lien", perçue comme une entrave à la communication et à la relation, notamment avec les membres de la famille et le personnel soignant. De fait, la maladie d'Alzheimer engendre des désavantages psychosociaux, puisque ces syndromes entraînent une perte du sentiment d'identité du sujet et les relations intersubjectives s'en trouvent alors perturbées.
"L'individu est un être social" dit le sociologue Norbert Elias. Ainsi, en prenant en compte les effets de stigmatisation de la maladie d'Alzheimer et les représentations sociales que peuvent en avoir les personnes qui entourent la personne malade, il est possible de penser les outils qui permettront, à terme, une mise en relation différente. Les auteures proposent dans cet ouvrage de faire appel à l'art et la culture comme accompagnement du couple aidant/aidé et soignant/soigné dans l'optique de préserver une relation thérapeutique "humaniste" prenant en compte la subjectivité de la personne âgée.
Vieillir dans notre société actuelle où la mort est sans cesse reculée grâce aux progrès de la médecine, expose les personnes vieillissantes à une exclusion de la sphère sociale. "Vieillir jeune", voilà le paradoxe que nous rencontrons chaque jour. Le regard porté par la société sur la personne âgée et, particulièrement, sur la personne âgée souffrant d'un syndrome déficitaire de type Alzheimer, est un regard péjoratif qui renvoie à la dépendance, la déchéance et la décrépitude.
La maladie d'Alzheimer est souvent définie comme une "maladie du lien", perçue comme une entrave à la communication et à la relation, notamment avec les membres de la famille et le personnel soignant. De fait, la maladie d'Alzheimer engendre des désavantages psychosociaux, puisque ces syndromes entraînent une perte du sentiment d'identité du sujet et les relations intersubjectives s'en trouvent alors perturbées.
"L'individu est un être social" dit le sociologue Norbert Elias. Ainsi, en prenant en compte les effets de stigmatisation de la maladie d'Alzheimer et les représentations sociales que peuvent en avoir les personnes qui entourent la personne malade, il est possible de penser les outils qui permettront, à terme, une mise en relation différente. Les auteures proposent dans cet ouvrage de faire appel à l'art et la culture comme accompagnement du couple aidant/aidé et soignant/soigné dans l'optique de préserver une relation thérapeutique "humaniste" prenant en compte la subjectivité de la personne âgée.
La maladie d'Alzheimer est souvent définie comme une "maladie du lien", perçue comme une entrave à la communication et à la relation, notamment avec les membres de la famille et le personnel soignant. De fait, la maladie d'Alzheimer engendre des désavantages psychosociaux, puisque ces syndromes entraînent une perte du sentiment d'identité du sujet et les relations intersubjectives s'en trouvent alors perturbées.
"L'individu est un être social" dit le sociologue Norbert Elias. Ainsi, en prenant en compte les effets de stigmatisation de la maladie d'Alzheimer et les représentations sociales que peuvent en avoir les personnes qui entourent la personne malade, il est possible de penser les outils qui permettront, à terme, une mise en relation différente. Les auteures proposent dans cet ouvrage de faire appel à l'art et la culture comme accompagnement du couple aidant/aidé et soignant/soigné dans l'optique de préserver une relation thérapeutique "humaniste" prenant en compte la subjectivité de la personne âgée.