L'art et l'esthétique du vide

Par : Hyeon-Suk Kim

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  • Nombre de pages240
  • PrésentationBroché
  • Poids0.385 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-343-03667-0
  • EAN9782343036670
  • Date de parution01/05/2014
  • CollectionL'univers esthétique
  • ÉditeurL'Harmattan
  • PréfacierGeorges Bloess

Résumé

C'est à un partage de méditation, où l'espace vide tout comme le silence sont indispensables à la résonance, auquel l'auteure nous convie. Elle procède par cheminement entre les concepts et oeuvres de philosophes et peintres occidentaux contemporains et l'expérience esthétique asiatique dans laquelle, depuis longtemps, la peinture, la poésie et la musique sont considérées comme des actes artistiques équivalents, avec des gestes qui proviennent de la même concentration et du même sens de l'observation que ceux exigés par la pratique du zen.
Des oeuvres de Kim Hyeon-Suk elle-même, Georges Bloess dit, dans la préface, que " l'abstraction peut y cohabiter avec la figuration, ignorant les déchirures et les ruptures qu'elle a provoquées sur notre continent ". Pour cette auteure-artiste, tracer une forme par les traits de la peinture ou former un poème par ceux de la calligraphie en observant les phénomènes de la nature, ou jouer de la flûte ou d'un autre instrument en harmonie avec le souffle du vent ou le bruissement des sources, est un exercice indissociable de la pratique de la méditation.
Le véritable Vide ,Xz (Jin-gong, zhen kong) de l'Extrême-Orient est semblable à la grande sagesse qui se présente dans la sérénité, même s'il est invisible et insaisissable comme le vent. Tel le miroir qui reflète toute chose qui lui fait face mais demeure inchangé, le Vide est immuable. Il correspond au silence absolu au tréfonds de nous comme l'arbre d'hiver recèle le parfum de la fleur printanière.
C'est le retour à l'état originel, le véritable Vide. Cet ouvrage, dit aussi le préfacier, " nous convainc par sa démonstration des plus originales que le Vide ne peut être connu, ou du moins pressenti, qu'à travers l'art ".
C'est à un partage de méditation, où l'espace vide tout comme le silence sont indispensables à la résonance, auquel l'auteure nous convie. Elle procède par cheminement entre les concepts et oeuvres de philosophes et peintres occidentaux contemporains et l'expérience esthétique asiatique dans laquelle, depuis longtemps, la peinture, la poésie et la musique sont considérées comme des actes artistiques équivalents, avec des gestes qui proviennent de la même concentration et du même sens de l'observation que ceux exigés par la pratique du zen.
Des oeuvres de Kim Hyeon-Suk elle-même, Georges Bloess dit, dans la préface, que " l'abstraction peut y cohabiter avec la figuration, ignorant les déchirures et les ruptures qu'elle a provoquées sur notre continent ". Pour cette auteure-artiste, tracer une forme par les traits de la peinture ou former un poème par ceux de la calligraphie en observant les phénomènes de la nature, ou jouer de la flûte ou d'un autre instrument en harmonie avec le souffle du vent ou le bruissement des sources, est un exercice indissociable de la pratique de la méditation.
Le véritable Vide ,Xz (Jin-gong, zhen kong) de l'Extrême-Orient est semblable à la grande sagesse qui se présente dans la sérénité, même s'il est invisible et insaisissable comme le vent. Tel le miroir qui reflète toute chose qui lui fait face mais demeure inchangé, le Vide est immuable. Il correspond au silence absolu au tréfonds de nous comme l'arbre d'hiver recèle le parfum de la fleur printanière.
C'est le retour à l'état originel, le véritable Vide. Cet ouvrage, dit aussi le préfacier, " nous convainc par sa démonstration des plus originales que le Vide ne peut être connu, ou du moins pressenti, qu'à travers l'art ".