L'art est une partie de plaisir. Mémoires d'une galeriste
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- Nombre de pages194
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.28 kg
- Dimensions14,2 cm × 22,7 cm × 1,7 cm
- ISBN978-2-8098-4780-2
- EAN9782809847802
- Date de parution07/03/2024
- ÉditeurArchipel (L')
- PréfacierGhislain Mollet-Viéville
- Préfacier Ben
Résumé
Figure de l'art engagé des années 1980 à 2000, Sylvana Lorenz raconte ses aventures artistiques et ainsi nombre d'anecdotes piquantes qui mettent en scène les acteurs célèbres de l'art de la fin du XXe siècle : Ben, Jeff Koons, César, Arman, Basquiat, Keith Haring, Combas... " La vie était une fête que nous vivions sans comprendre que nous écrivions l'histoire de l'art. " L'existence de Sylvana Lorenz est un happening perpétuel.
Tout commence à Nice, en 1968, dans la boutique de Ben, artiste Fluxus, dont la façade composée d'objets hétéroclites proclame : " Tout est art. " Encore adolescente, elle en ressort avec un bout de celle qu'il considère comme l'une de ses oeuvres. Il la rassure : " Ce n'est pas l'objet qui importe, c'est l'idée. " Initiation à l'art conceptuel. Quinze ans plus tard, marchande, experte, puis galeriste, la voilà devenue actrice privilégiée d'une scène artistique en plein boom.
Jamais on n'avait vu en France autant d'expositions consacrées aux nouvelles tendances. Figuration libre, Nouveaux Fauves, Street Art, Néo-Géo, art numérique, vidéo, performances... rien ne lui échappe. César, Arman, Basquiat, Keith Haring, Combas, Armleder, Jeff Koons, Fred Forest : avec ces créateurs, ses relations furent tantôt joyeuses, tantôt houleuses, toujours fructueuses. Ces années d'effervescence, Sylvana Lorenz les a vécues en pleine lumière.
Artiste de la communication, mêlant vie privée et vie professionnelle, elle raconte " ses artistes, ses amours, ses emmerdes ", mais aussi ses années télé, avec un franc-parler qui l'a toujours distinguée dans un milieu dont l'extravagance n'a d'égale que le secret.
Tout commence à Nice, en 1968, dans la boutique de Ben, artiste Fluxus, dont la façade composée d'objets hétéroclites proclame : " Tout est art. " Encore adolescente, elle en ressort avec un bout de celle qu'il considère comme l'une de ses oeuvres. Il la rassure : " Ce n'est pas l'objet qui importe, c'est l'idée. " Initiation à l'art conceptuel. Quinze ans plus tard, marchande, experte, puis galeriste, la voilà devenue actrice privilégiée d'une scène artistique en plein boom.
Jamais on n'avait vu en France autant d'expositions consacrées aux nouvelles tendances. Figuration libre, Nouveaux Fauves, Street Art, Néo-Géo, art numérique, vidéo, performances... rien ne lui échappe. César, Arman, Basquiat, Keith Haring, Combas, Armleder, Jeff Koons, Fred Forest : avec ces créateurs, ses relations furent tantôt joyeuses, tantôt houleuses, toujours fructueuses. Ces années d'effervescence, Sylvana Lorenz les a vécues en pleine lumière.
Artiste de la communication, mêlant vie privée et vie professionnelle, elle raconte " ses artistes, ses amours, ses emmerdes ", mais aussi ses années télé, avec un franc-parler qui l'a toujours distinguée dans un milieu dont l'extravagance n'a d'égale que le secret.
Figure de l'art engagé des années 1980 à 2000, Sylvana Lorenz raconte ses aventures artistiques et ainsi nombre d'anecdotes piquantes qui mettent en scène les acteurs célèbres de l'art de la fin du XXe siècle : Ben, Jeff Koons, César, Arman, Basquiat, Keith Haring, Combas... " La vie était une fête que nous vivions sans comprendre que nous écrivions l'histoire de l'art. " L'existence de Sylvana Lorenz est un happening perpétuel.
Tout commence à Nice, en 1968, dans la boutique de Ben, artiste Fluxus, dont la façade composée d'objets hétéroclites proclame : " Tout est art. " Encore adolescente, elle en ressort avec un bout de celle qu'il considère comme l'une de ses oeuvres. Il la rassure : " Ce n'est pas l'objet qui importe, c'est l'idée. " Initiation à l'art conceptuel. Quinze ans plus tard, marchande, experte, puis galeriste, la voilà devenue actrice privilégiée d'une scène artistique en plein boom.
Jamais on n'avait vu en France autant d'expositions consacrées aux nouvelles tendances. Figuration libre, Nouveaux Fauves, Street Art, Néo-Géo, art numérique, vidéo, performances... rien ne lui échappe. César, Arman, Basquiat, Keith Haring, Combas, Armleder, Jeff Koons, Fred Forest : avec ces créateurs, ses relations furent tantôt joyeuses, tantôt houleuses, toujours fructueuses. Ces années d'effervescence, Sylvana Lorenz les a vécues en pleine lumière.
Artiste de la communication, mêlant vie privée et vie professionnelle, elle raconte " ses artistes, ses amours, ses emmerdes ", mais aussi ses années télé, avec un franc-parler qui l'a toujours distinguée dans un milieu dont l'extravagance n'a d'égale que le secret.
Tout commence à Nice, en 1968, dans la boutique de Ben, artiste Fluxus, dont la façade composée d'objets hétéroclites proclame : " Tout est art. " Encore adolescente, elle en ressort avec un bout de celle qu'il considère comme l'une de ses oeuvres. Il la rassure : " Ce n'est pas l'objet qui importe, c'est l'idée. " Initiation à l'art conceptuel. Quinze ans plus tard, marchande, experte, puis galeriste, la voilà devenue actrice privilégiée d'une scène artistique en plein boom.
Jamais on n'avait vu en France autant d'expositions consacrées aux nouvelles tendances. Figuration libre, Nouveaux Fauves, Street Art, Néo-Géo, art numérique, vidéo, performances... rien ne lui échappe. César, Arman, Basquiat, Keith Haring, Combas, Armleder, Jeff Koons, Fred Forest : avec ces créateurs, ses relations furent tantôt joyeuses, tantôt houleuses, toujours fructueuses. Ces années d'effervescence, Sylvana Lorenz les a vécues en pleine lumière.
Artiste de la communication, mêlant vie privée et vie professionnelle, elle raconte " ses artistes, ses amours, ses emmerdes ", mais aussi ses années télé, avec un franc-parler qui l'a toujours distinguée dans un milieu dont l'extravagance n'a d'égale que le secret.





