L'Art Du Corps. Le Corps Expose De Man Ray A Nos Jours, Mac, Galeries Contemporaines Des Musees De Marseille 6 Juillet - 15 Octobre 1996

Par : Collectif

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  • Nombre de pages477
  • PrésentationBroché
  • Poids0.68 kg
  • Dimensions16,5 cm × 22,0 cm × 3,0 cm
  • ISBN2-7118-3210-4
  • EAN9782711832101
  • Date de parution15/10/1999
  • ÉditeurRMN

Résumé

[...] Est-ce d'avoir voulu imiter le corps, effacer les différences entre le corps et l'art, que celui que Photius dit être " le plus grand des peintres de son temps " doit d'être mort ? Puisqu'en effet, selon le témoignage de Festus, " le peintre Zeuxis mourut du fou rire que lui donna son tableau La Vieille ". D'un côté, les tableaux célèbres, tels les raisins si réels qu'ils trompaient les pigeons, artifice avec quelques autres banales curiosités dont les portraits ressemblants jusqu'à la nausée valurent à Zeuxis et à ce type de curiosités d'être sortis de la sphère artistique par l'Esthétique de Hegel. Zeuxis a pourtant un envers dont Pline avertit d'une phrase sans explication : " Il peignit aussi des "monochromes en blanc" (monochromata ex albo) ". Le commentaire des savants se partage en deux hypothèses contraires : ce sont des dessins de couleurs sombres sur fond blanc ou ce sont des peintures blanches sur des surfaces sombres. Il conviendrait de commencer par s'arrêter devant l'énoncé "L'art au corps" - l'endroit pour silhouetter une question : quel art, quel corps, exactement, pour cet art au corps ? [...].
[...] Est-ce d'avoir voulu imiter le corps, effacer les différences entre le corps et l'art, que celui que Photius dit être " le plus grand des peintres de son temps " doit d'être mort ? Puisqu'en effet, selon le témoignage de Festus, " le peintre Zeuxis mourut du fou rire que lui donna son tableau La Vieille ". D'un côté, les tableaux célèbres, tels les raisins si réels qu'ils trompaient les pigeons, artifice avec quelques autres banales curiosités dont les portraits ressemblants jusqu'à la nausée valurent à Zeuxis et à ce type de curiosités d'être sortis de la sphère artistique par l'Esthétique de Hegel. Zeuxis a pourtant un envers dont Pline avertit d'une phrase sans explication : " Il peignit aussi des "monochromes en blanc" (monochromata ex albo) ". Le commentaire des savants se partage en deux hypothèses contraires : ce sont des dessins de couleurs sombres sur fond blanc ou ce sont des peintures blanches sur des surfaces sombres. Il conviendrait de commencer par s'arrêter devant l'énoncé "L'art au corps" - l'endroit pour silhouetter une question : quel art, quel corps, exactement, pour cet art au corps ? [...].
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