Le père du jeune narrateur a l'habitude de faire les oraisons funèbres du village. Le garçon remarque que chaque fois, ses affaires vont mieux et toute leur vie de famille s’en ressent.
La voix du garçon de 10 ans qui observe son entourage sans forcément comprendre de quoi il retourne était plutôt réussie, mais je n'en ai pas pour autant apprécié ce livre, d’autant qu’il n’était pas du tout ce à quoi je m’attendais. À lire la quatrième de couverture, on pouvait s’attendre à un livre drôle et léger. Pas du tout !
L’Art de pleurer en chœur est extrêmement glauque
: on est dans une petite communauté rurale des années 60 où les ragots vont bon train, dans une famille où les gifles partent pour un rien, et où la jeune sœur du narrateur « rejoint leur père quand il dort sur le canapé ».
Pas forcément un mauvais livre, mais bien plus noir qu’il n’y paraît.
Innocence des jeunes années
Le père du jeune narrateur a l'habitude de faire les oraisons funèbres du village. Le garçon remarque que chaque fois, ses affaires vont mieux et toute leur vie de famille s’en ressent.
La voix du garçon de 10 ans qui observe son entourage sans forcément comprendre de quoi il retourne était plutôt réussie, mais je n'en ai pas pour autant apprécié ce livre, d’autant qu’il n’était pas du tout ce à quoi je m’attendais. À lire la quatrième de couverture, on pouvait s’attendre à un livre drôle et léger. Pas du tout !
L’Art de pleurer en chœur est extrêmement glauque : on est dans une petite communauté rurale des années 60 où les ragots vont bon train, dans une famille où les gifles partent pour un rien, et où la jeune sœur du narrateur « rejoint leur père quand il dort sur le canapé ».
Pas forcément un mauvais livre, mais bien plus noir qu’il n’y paraît.