L'art de la Crète et de Mycènes

Par : Reynold Higgins

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  • Nombre de pages215
  • PrésentationBroché
  • Poids0.425 kg
  • Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 1,4 cm
  • ISBN2-87811-097-8
  • EAN9782878110975
  • Date de parution01/12/1995
  • Collectionl'univers de l'art
  • ÉditeurThames & Hudson

Résumé

L'âge du Bronze dans le monde égéen n'est pas un parent pauvre de l'ère classique en Grèce. D'ailleurs, les Grecs, qui pouvaient encore admirer les monuments de l'âge héroïque, les vénéraient. L'étude de la période qui va de 3000 à environ 1100 av. J.-C. a simplement souffert d'avoir baigné longtemps dans l'atmosphère de légende qui enveloppait le roi Minos (on parle aujourd'hui de civilisation "minoenne") et sa capitale Cnossos. On ne peut donc s'appuyer que sur des vestiges archéologiques pour étudier cette architecture immémoriale, de Mycènes ou des Cyclades, ces fresques, ces masques funéraires, ces ivoires. Mais peut-être un tel défaut est-il une qualité, puisque l'absence de littérature nous permet de conférer à la porte des Lions ou à la Déesse aux serpents leur juste valeur, de ne considérer que leur inquiétante beauté.
L'âge du Bronze dans le monde égéen n'est pas un parent pauvre de l'ère classique en Grèce. D'ailleurs, les Grecs, qui pouvaient encore admirer les monuments de l'âge héroïque, les vénéraient. L'étude de la période qui va de 3000 à environ 1100 av. J.-C. a simplement souffert d'avoir baigné longtemps dans l'atmosphère de légende qui enveloppait le roi Minos (on parle aujourd'hui de civilisation "minoenne") et sa capitale Cnossos. On ne peut donc s'appuyer que sur des vestiges archéologiques pour étudier cette architecture immémoriale, de Mycènes ou des Cyclades, ces fresques, ces masques funéraires, ces ivoires. Mais peut-être un tel défaut est-il une qualité, puisque l'absence de littérature nous permet de conférer à la porte des Lions ou à la Déesse aux serpents leur juste valeur, de ne considérer que leur inquiétante beauté.