L'art de la Celtique. Des origines au Livre de Kells
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- Nombre de pages276
- PrésentationBroché
- Poids0.64 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 2,0 cm
- ISBN2-87772-305-4
- EAN9782877723053
- Date de parution09/09/2005
- CollectionHespérides
- ÉditeurErrance (Editions)
- TraducteurPatrick Galliou
Résumé
Les auteurs grecs donnaient le nom de Keltoi aux communautés barbares de l'Age du Fer occupant l'Europe tempérée. Ce terme vague englobe de vastes territoires où habitaient des agrégats tribaux sans que ces communautés aient jamais imaginé former un ensemble uni. Au fil des siècles, jusqu'à nos jours, traversant le Moyen Age, certains ont voulu voir une identité celtique qui durerait depuis deux mille ans. A travers les découvertes archéologiques, l'étude des langues, les textes anciens, les chercheurs se consacrent depuis plus d'un siècle à identifier et comprendre ce qui ne fut ni une race ni une civilisation globale, mais un ensemble possédant de nombreuses analogies, comme nous le montre la gestion celtique de l'image et des thèmes figurés. Dans cette vaste synthèse, les auteurs nous dévoilent ce que fut l'art nord-européen de la protohistoire au Moyen Age, la magnificence des représentations créées par des artisans de grand talent. La société et l'art des Celtes ne furent jamais statiques. Lors du millénaire qui précéda leur conversion au christianisme, ils connurent en permanence des mutations, des évolutions et des adaptations à de nouvelles influences.
Les auteurs grecs donnaient le nom de Keltoi aux communautés barbares de l'Age du Fer occupant l'Europe tempérée. Ce terme vague englobe de vastes territoires où habitaient des agrégats tribaux sans que ces communautés aient jamais imaginé former un ensemble uni. Au fil des siècles, jusqu'à nos jours, traversant le Moyen Age, certains ont voulu voir une identité celtique qui durerait depuis deux mille ans. A travers les découvertes archéologiques, l'étude des langues, les textes anciens, les chercheurs se consacrent depuis plus d'un siècle à identifier et comprendre ce qui ne fut ni une race ni une civilisation globale, mais un ensemble possédant de nombreuses analogies, comme nous le montre la gestion celtique de l'image et des thèmes figurés. Dans cette vaste synthèse, les auteurs nous dévoilent ce que fut l'art nord-européen de la protohistoire au Moyen Age, la magnificence des représentations créées par des artisans de grand talent. La société et l'art des Celtes ne furent jamais statiques. Lors du millénaire qui précéda leur conversion au christianisme, ils connurent en permanence des mutations, des évolutions et des adaptations à de nouvelles influences.