L'art de l'ingénieur de Perronet à Caquot. L'innovation scientifique liée à la pratique
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- Nombre de pages218
- PrésentationBroché
- Poids0.44 kg
- Dimensions17,0 cm × 24,0 cm × 1,4 cm
- ISBN2-85978-398-9
- EAN9782859783983
- Date de parution02/12/2004
- CollectionAnnales des Ponts et Chaussées
- ÉditeurPonts et Chaussées (Presses)
- PréfacierJean Salençon
Résumé
C'est à un parcours historique de près de trois siècles dans les techniques et la science, de Jean-Rodolphe Perronet à Albert Caquot, que le Conseil général des ponts et chaussées nous invite, par ce numéro hors série des Annales des ponts et chaussées édité à l'occasion de son bicentenaire. " Son œuvre a un caractère éminent d'originalité. Il n'est pas à la remorque des idées des autres. Ses recherches sont très personnelles : peu de personnes laissent autant que lui une impression de force et de puissance. " A la lecture de cet ouvrage, il apparaît que cette appréciation extraite de l'avis d'Emile Picard, alors secrétaire perpétuel de l'Académie des sciences, lors de la candidature d'Albert Caquot, peut, par bien des
aspects, s'appliquer à tous les ingénieurs des ponts et chaussées qui sont évoqués. Leurs œuvres ressortissent aux sciences et aux techniques dans une symbiose aussi riche qu'originale, rendue possible par leur solide
formation mathématique, qui fait d'eux des novateurs voire des pionniers, tels Jules Dupuit souvent considéré comme le premier économiste " moderne ".
C'est à un parcours historique de près de trois siècles dans les techniques et la science, de Jean-Rodolphe Perronet à Albert Caquot, que le Conseil général des ponts et chaussées nous invite, par ce numéro hors série des Annales des ponts et chaussées édité à l'occasion de son bicentenaire. " Son œuvre a un caractère éminent d'originalité. Il n'est pas à la remorque des idées des autres. Ses recherches sont très personnelles : peu de personnes laissent autant que lui une impression de force et de puissance. " A la lecture de cet ouvrage, il apparaît que cette appréciation extraite de l'avis d'Emile Picard, alors secrétaire perpétuel de l'Académie des sciences, lors de la candidature d'Albert Caquot, peut, par bien des
aspects, s'appliquer à tous les ingénieurs des ponts et chaussées qui sont évoqués. Leurs œuvres ressortissent aux sciences et aux techniques dans une symbiose aussi riche qu'originale, rendue possible par leur solide
formation mathématique, qui fait d'eux des novateurs voire des pionniers, tels Jules Dupuit souvent considéré comme le premier économiste " moderne ".