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- Nombre de pages290
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.39 kg
- Dimensions14,8 cm × 21,0 cm × 2,2 cm
- ISBN978-2-491187-40-8
- EAN9782491187408
- Date de parution02/05/2024
- ÉditeurLes Editions du Verbe Haut
- PréfacierAlain Pascal
Résumé
Préfacé par Alain Pascal, ce livre n'est pas un roman, ni vraiment des nouvelles, plutôt une sorte de chirurgie intérieure, des coups de scalpels et quelques baumes assez rares qui effacent à peine la brûlure. Faut-il désespérer ? Non, car "l'Armoire" finit par s'ouvrir et d'elle surgit une lumière de salut. La Croix glorieuse sauvera l'humanité de sa prison psychique. Le contemporain a commencé d'expérimenter l'enfermement, cependant il détient la "clef" de la délivrance.
Il y a eu une dictature sanitaire, la numérique se profile, la prose poétique de François Bourdil nous libère sans le dire de la prison mentale qui permet la soumission. Il y a une sortie "par le Haut". Les souffrances individuelles ne se guérissent pas par la seule imagination - fût-elle dans le cas de l'auteur, débordante -, elles conduisent vers une conversion. Tel est le parcours secret de ces récits ; il est à peine avoué tant l'auteur se protège dans sa coquille de modestie.
Non, il va prendre place parmi les grands.
Il y a eu une dictature sanitaire, la numérique se profile, la prose poétique de François Bourdil nous libère sans le dire de la prison mentale qui permet la soumission. Il y a une sortie "par le Haut". Les souffrances individuelles ne se guérissent pas par la seule imagination - fût-elle dans le cas de l'auteur, débordante -, elles conduisent vers une conversion. Tel est le parcours secret de ces récits ; il est à peine avoué tant l'auteur se protège dans sa coquille de modestie.
Non, il va prendre place parmi les grands.
Préfacé par Alain Pascal, ce livre n'est pas un roman, ni vraiment des nouvelles, plutôt une sorte de chirurgie intérieure, des coups de scalpels et quelques baumes assez rares qui effacent à peine la brûlure. Faut-il désespérer ? Non, car "l'Armoire" finit par s'ouvrir et d'elle surgit une lumière de salut. La Croix glorieuse sauvera l'humanité de sa prison psychique. Le contemporain a commencé d'expérimenter l'enfermement, cependant il détient la "clef" de la délivrance.
Il y a eu une dictature sanitaire, la numérique se profile, la prose poétique de François Bourdil nous libère sans le dire de la prison mentale qui permet la soumission. Il y a une sortie "par le Haut". Les souffrances individuelles ne se guérissent pas par la seule imagination - fût-elle dans le cas de l'auteur, débordante -, elles conduisent vers une conversion. Tel est le parcours secret de ces récits ; il est à peine avoué tant l'auteur se protège dans sa coquille de modestie.
Non, il va prendre place parmi les grands.
Il y a eu une dictature sanitaire, la numérique se profile, la prose poétique de François Bourdil nous libère sans le dire de la prison mentale qui permet la soumission. Il y a une sortie "par le Haut". Les souffrances individuelles ne se guérissent pas par la seule imagination - fût-elle dans le cas de l'auteur, débordante -, elles conduisent vers une conversion. Tel est le parcours secret de ces récits ; il est à peine avoué tant l'auteur se protège dans sa coquille de modestie.
Non, il va prendre place parmi les grands.
Avis des lecteursCommentaires laissés par nos lecteurs
5/5
“ Un roman psychologique et fantastique ”
Pour fuir le monde et se fuir lui-même, un homme s'enferme dans une armoire. Son imagination ou un démon intérieur, Azdrek, l'oblige à incarner des personnages qui correspondent à son état d'esprit : aliénation (l'enfant schizophrène), le mépris de soi (le juriste SDF qui se cherche à travers des héros littéraires), le doute envers les hommes et Dieu (le prêtre de l'île pénitentiaire) et enfin, le ressentiment (le vieil homme, artiste raté). Mais où cette odyssée fantastique va-t-elle le mener ? Sortira-t-il de son enfermement, de son "Armoire" ?
Pour fuir le monde et se fuir lui-même, un homme s'enferme dans une armoire. Son imagination ou un démon intérieur, Azdrek, l'oblige à incarner des personnages qui correspondent à son état d'esprit : aliénation (l'enfant schizophrène), le mépris de soi (le juriste SDF qui se cherche à travers des héros littéraires), le doute envers les hommes et Dieu (le prêtre de l'île pénitentiaire) et enfin, le ressentiment (le vieil homme, artiste raté). Mais où cette odyssée fantastique va-t-elle le mener ? Sortira-t-il de son enfermement, de son "Armoire" ?