L'architecture du silence
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- Nombre de pages253
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.33 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 1,6 cm
- ISBN978-2-914823-24-1
- EAN9782914823241
- Date de parution12/07/2022
- CollectionEssai
- ÉditeurExils
- PréfacierChristophe Kotányi
Résumé
En France, Attila Kotányi est surtout connu pour avoir fait partie de l'Internationale situationniste à la fin des années 1950 et au début de la décennie suivante. C'est lui notamment qui présenta Raoul Vaneigem à Guy Debord. Architecte de formation, marxiste non dogmatique, il apporta une vraie contribution à la réflexion du groupe sur l'urbanisme et la vie sociale. Mais les intérêts d'Attila Kotányi ne s'arrêtaient pas là.
Au cours de ses pérégrinations, de Budapest à Bruxelles, de Bruxelles à Düsseldorf, où il fut enseignant, enfin de Düsseldorf à Budapest, sa vie et son oeuvre sont traversées par des questions existentielles. Il n'hésite pas à puiser dans la mystique juive comme dans le bouddhisme pour tenter d'y répondre, en revendiquant une radicalité fondée sur la subjectivité. Trois expressions-clés pourraient résumer cette pensée toujours en mouvement : "architecture du silence", "docte imperfection " et "espace du ravissement".
Pour Attila, en effet, la création d'espaces de ravissement est la tâche première de l'architecture comme de l'art et de la philosophie.
Au cours de ses pérégrinations, de Budapest à Bruxelles, de Bruxelles à Düsseldorf, où il fut enseignant, enfin de Düsseldorf à Budapest, sa vie et son oeuvre sont traversées par des questions existentielles. Il n'hésite pas à puiser dans la mystique juive comme dans le bouddhisme pour tenter d'y répondre, en revendiquant une radicalité fondée sur la subjectivité. Trois expressions-clés pourraient résumer cette pensée toujours en mouvement : "architecture du silence", "docte imperfection " et "espace du ravissement".
Pour Attila, en effet, la création d'espaces de ravissement est la tâche première de l'architecture comme de l'art et de la philosophie.
En France, Attila Kotányi est surtout connu pour avoir fait partie de l'Internationale situationniste à la fin des années 1950 et au début de la décennie suivante. C'est lui notamment qui présenta Raoul Vaneigem à Guy Debord. Architecte de formation, marxiste non dogmatique, il apporta une vraie contribution à la réflexion du groupe sur l'urbanisme et la vie sociale. Mais les intérêts d'Attila Kotányi ne s'arrêtaient pas là.
Au cours de ses pérégrinations, de Budapest à Bruxelles, de Bruxelles à Düsseldorf, où il fut enseignant, enfin de Düsseldorf à Budapest, sa vie et son oeuvre sont traversées par des questions existentielles. Il n'hésite pas à puiser dans la mystique juive comme dans le bouddhisme pour tenter d'y répondre, en revendiquant une radicalité fondée sur la subjectivité. Trois expressions-clés pourraient résumer cette pensée toujours en mouvement : "architecture du silence", "docte imperfection " et "espace du ravissement".
Pour Attila, en effet, la création d'espaces de ravissement est la tâche première de l'architecture comme de l'art et de la philosophie.
Au cours de ses pérégrinations, de Budapest à Bruxelles, de Bruxelles à Düsseldorf, où il fut enseignant, enfin de Düsseldorf à Budapest, sa vie et son oeuvre sont traversées par des questions existentielles. Il n'hésite pas à puiser dans la mystique juive comme dans le bouddhisme pour tenter d'y répondre, en revendiquant une radicalité fondée sur la subjectivité. Trois expressions-clés pourraient résumer cette pensée toujours en mouvement : "architecture du silence", "docte imperfection " et "espace du ravissement".
Pour Attila, en effet, la création d'espaces de ravissement est la tâche première de l'architecture comme de l'art et de la philosophie.