L'arbre de la connaissance. Popper versus Descartes
Par : ,Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages118
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.16 kg
- Dimensions13,0 cm × 21,0 cm × 0,8 cm
- ISBN978-2-343-11851-2
- EAN9782343118512
- Date de parution24/04/2017
- CollectionOuverture philosophique
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Cette étude révèle, au bout du compte que, aussi bien chez Descartes que chez Popper, on a affaire à un type d'"arbre phylogénétique", une sorte d'"arbre généalogique" sur fond d'une systématique ontogénétique. Les espèces cognitives se tiennent, tout comme le sont les espèces animales et végétales au cours de leur évolution, à partir de l'oeuf-métaphysique (pour Descartes) ou de l'oeuf-situation problématique (pour Popper).
Ainsi, au cours de leur croissance, les données épistémiques de l'arbre passent par des phases morphologiques qui rappellent les caractères de leurs ancêtres successifs, même les plus lointains : (i) la métaphysique - ancêtre la plus lointaine pour Descartes, qui ouvre à la physique et/ou la mathématique comme tronc d'où tiennent toutes les branches et leurs fruits ; (ii) l'ensemble de situations problématiques primaires - ancêtre le plus lointain pour Popper, qui induit la critique et/ou le langage argumentatif d'où tiennent des situations problématiques secondaires qui, elles, ouvrent plutôt à la métaphysique.
C'est un tel état de phylogenèse qui, ontogénétiquement, va faire se répandre la/le métaphysique dans tout le cours du développement des savoirs humains, au-delà des divergences méthodologiques entre les deux approches qui, elles, viennent d'une querelle de fondements quand Descartes place au fondement ce que Popper trouve à l'aboutissement : la métaphysique.
Ainsi, au cours de leur croissance, les données épistémiques de l'arbre passent par des phases morphologiques qui rappellent les caractères de leurs ancêtres successifs, même les plus lointains : (i) la métaphysique - ancêtre la plus lointaine pour Descartes, qui ouvre à la physique et/ou la mathématique comme tronc d'où tiennent toutes les branches et leurs fruits ; (ii) l'ensemble de situations problématiques primaires - ancêtre le plus lointain pour Popper, qui induit la critique et/ou le langage argumentatif d'où tiennent des situations problématiques secondaires qui, elles, ouvrent plutôt à la métaphysique.
C'est un tel état de phylogenèse qui, ontogénétiquement, va faire se répandre la/le métaphysique dans tout le cours du développement des savoirs humains, au-delà des divergences méthodologiques entre les deux approches qui, elles, viennent d'une querelle de fondements quand Descartes place au fondement ce que Popper trouve à l'aboutissement : la métaphysique.
Cette étude révèle, au bout du compte que, aussi bien chez Descartes que chez Popper, on a affaire à un type d'"arbre phylogénétique", une sorte d'"arbre généalogique" sur fond d'une systématique ontogénétique. Les espèces cognitives se tiennent, tout comme le sont les espèces animales et végétales au cours de leur évolution, à partir de l'oeuf-métaphysique (pour Descartes) ou de l'oeuf-situation problématique (pour Popper).
Ainsi, au cours de leur croissance, les données épistémiques de l'arbre passent par des phases morphologiques qui rappellent les caractères de leurs ancêtres successifs, même les plus lointains : (i) la métaphysique - ancêtre la plus lointaine pour Descartes, qui ouvre à la physique et/ou la mathématique comme tronc d'où tiennent toutes les branches et leurs fruits ; (ii) l'ensemble de situations problématiques primaires - ancêtre le plus lointain pour Popper, qui induit la critique et/ou le langage argumentatif d'où tiennent des situations problématiques secondaires qui, elles, ouvrent plutôt à la métaphysique.
C'est un tel état de phylogenèse qui, ontogénétiquement, va faire se répandre la/le métaphysique dans tout le cours du développement des savoirs humains, au-delà des divergences méthodologiques entre les deux approches qui, elles, viennent d'une querelle de fondements quand Descartes place au fondement ce que Popper trouve à l'aboutissement : la métaphysique.
Ainsi, au cours de leur croissance, les données épistémiques de l'arbre passent par des phases morphologiques qui rappellent les caractères de leurs ancêtres successifs, même les plus lointains : (i) la métaphysique - ancêtre la plus lointaine pour Descartes, qui ouvre à la physique et/ou la mathématique comme tronc d'où tiennent toutes les branches et leurs fruits ; (ii) l'ensemble de situations problématiques primaires - ancêtre le plus lointain pour Popper, qui induit la critique et/ou le langage argumentatif d'où tiennent des situations problématiques secondaires qui, elles, ouvrent plutôt à la métaphysique.
C'est un tel état de phylogenèse qui, ontogénétiquement, va faire se répandre la/le métaphysique dans tout le cours du développement des savoirs humains, au-delà des divergences méthodologiques entre les deux approches qui, elles, viennent d'une querelle de fondements quand Descartes place au fondement ce que Popper trouve à l'aboutissement : la métaphysique.