Sur le livre et pourquoi j’ai décidé de le lire :
Notre charmante assistante nous avait parlé, il y a quelques mois, des derniers succès littéraires dont font partie Musso et son Central Park. Elle avait acheté le roman lors de son dernier voyage en France et j’ai pu en profiter.
J’avais envie de relire Musso, surtout qu’on m’en avait dit que du bien et que je voulais donner une seconde chance à cet auteur. Il est vrai que j’avais trouvé son premier livre un peu superficiel. N’empêche que ses livres se vendent comme des petits pains, à l’image de Levy, Foenkinos, Pancol, Nothomb. Leurs romans englobent un large éventail de styles, d’histoires et d’émotions si bien qu’ils ne déçoivent pas.
Résumé: (Quatrième de couverture)
Alice et Gabriel n’ont aucun souvenir de la nuit dernière…
… pourtant, ils ne sont pas près de l’oublier.
New York, huit heures du matin.
Alice, jeune flic parisienne, et Gabriel, pianiste de jazz américain, se réveillent menottés l’un à l’autre sur un banc de Central Park. Ils ne se connaissent pas et n’ont aucun souvenir de leur rencontre.
La veille au soir, Alice faisait la fête avec ses copines sur les Champs-Élysées tandis que Gabriel jouait du piano dans un club de Dublin.
Impossible ? Et pourtant…
Points positifs :
Je trouve Central Park très original et je crois qu’il marcherait très bien sur grand écran.
Le roman a un début accrocheur qui nous tient en haleine jusqu’à la fin. Les rebondissements sont constants et j’aurais pu le lire d’une traite si le travail et mes quatre repas quotidiens ne m’avaient pas obligé à arrêter ma lecture.
La clé du succès est peut-être un début invraisemblable et l’envie de savoir pourquoi deux personnes se retrouvent dans un tel pétrin et comment elles vont s’en sortir. Personne n’est capable d’imaginer le déroulement ni la fin.
Le roman est majoritairement constitué d’action mais ne laisse pas pour autant de côté certains passages où les sentiments fleurissent, où des thèmes plus profonds comme la maladie, le deuil, la vieillesse ou la quête d’identité prennent de l’ampleur.
Le style est agréable à lire.
Points négatifs :
Rien à dire. Le livre est ce qu’il est, une lecture sympathique. Si vous voulez vous adonner à la méditation, privilégiez la poésie ou les textes mystiques J
Note : 8. 5
Je le relirai: peut-être mais pas avant de lire le reste de ses romans.
Le problème avec la relecture des polards, c’est que le suspens se perd car on connaît dès le début le dénouement des événements.
Je le conseille : oui, à tous publics.
Sur le livre et pourquoi j’ai décidé de le lire :
Notre charmante assistante nous avait parlé, il y a quelques mois, des derniers succès littéraires dont font partie Musso et son Central Park. Elle avait acheté le roman lors de son dernier voyage en France et j’ai pu en profiter.
J’avais envie de relire Musso, surtout qu’on m’en avait dit que du bien et que je voulais donner une seconde chance à cet auteur. Il est vrai que j’avais trouvé son premier livre un peu superficiel. N’empêche que ses livres se vendent comme des petits pains, à l’image de Levy, Foenkinos, Pancol, Nothomb. Leurs romans englobent un large éventail de styles, d’histoires et d’émotions si bien qu’ils ne déçoivent pas.
Résumé: (Quatrième de couverture)
Alice et Gabriel n’ont aucun souvenir de la nuit dernière…
… pourtant, ils ne sont pas près de l’oublier.
New York, huit heures du matin.
Alice, jeune flic parisienne, et Gabriel, pianiste de jazz américain, se réveillent menottés l’un à l’autre sur un banc de Central Park. Ils ne se connaissent pas et n’ont aucun souvenir de leur rencontre.
La veille au soir, Alice faisait la fête avec ses copines sur les Champs-Élysées tandis que Gabriel jouait du piano dans un club de Dublin.
Impossible ? Et pourtant…
Points positifs :
Je trouve Central Park très original et je crois qu’il marcherait très bien sur grand écran.
Le roman a un début accrocheur qui nous tient en haleine jusqu’à la fin. Les rebondissements sont constants et j’aurais pu le lire d’une traite si le travail et mes quatre repas quotidiens ne m’avaient pas obligé à arrêter ma lecture.
La clé du succès est peut-être un début invraisemblable et l’envie de savoir pourquoi deux personnes se retrouvent dans un tel pétrin et comment elles vont s’en sortir. Personne n’est capable d’imaginer le déroulement ni la fin.
Le roman est majoritairement constitué d’action mais ne laisse pas pour autant de côté certains passages où les sentiments fleurissent, où des thèmes plus profonds comme la maladie, le deuil, la vieillesse ou la quête d’identité prennent de l’ampleur.
Le style est agréable à lire.
Points négatifs :
Rien à dire. Le livre est ce qu’il est, une lecture sympathique. Si vous voulez vous adonner à la méditation, privilégiez la poésie ou les textes mystiques J
Note : 8. 5
Je le relirai: peut-être mais pas avant de lire le reste de ses romans.
Le problème avec la relecture des polards, c’est que le suspens se perd car on connaît dès le début le dénouement des événements.
Je le conseille : oui, à tous publics.
