L'amour de la poésie. Les poèmes spirituels de Yûnus Emre (1240-1320)
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- Nombre de pages356
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.56 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-343-19815-6
- EAN9782343198156
- Date de parution17/03/2020
- CollectionThéôria
- ÉditeurL'Harmattan
- TraducteurPaul Ballanfat
Résumé
Yûnus Emre (1240-1320) naît l'année où meurt ibn 'Arabî, le grand maître andalou qui a révolutionné la pensée dans le cadre du soufisme. Il est l'auteur d'un grand recueil de poèmes spirituels et d'un long poème de jeunesse didactique qui ont constitué le fond sur lequel la poésie turque anatolienne s'est développée. Il représente de manière exemplaire la contestation spirituelle du soufisme institutionnel que Hallâj inaugura.
C'est pourquoi, si sa poésie peut être rapprochée de celle de Rûmî, elle témoigne d'une radicalité plus grande encore. Il frappe de son ironie irrespectueuse, déjouant a fascination mystique dont s'alimente le soufisme et chante l'amour de l'aimée dans la dépossession de soi.
C'est pourquoi, si sa poésie peut être rapprochée de celle de Rûmî, elle témoigne d'une radicalité plus grande encore. Il frappe de son ironie irrespectueuse, déjouant a fascination mystique dont s'alimente le soufisme et chante l'amour de l'aimée dans la dépossession de soi.
Yûnus Emre (1240-1320) naît l'année où meurt ibn 'Arabî, le grand maître andalou qui a révolutionné la pensée dans le cadre du soufisme. Il est l'auteur d'un grand recueil de poèmes spirituels et d'un long poème de jeunesse didactique qui ont constitué le fond sur lequel la poésie turque anatolienne s'est développée. Il représente de manière exemplaire la contestation spirituelle du soufisme institutionnel que Hallâj inaugura.
C'est pourquoi, si sa poésie peut être rapprochée de celle de Rûmî, elle témoigne d'une radicalité plus grande encore. Il frappe de son ironie irrespectueuse, déjouant a fascination mystique dont s'alimente le soufisme et chante l'amour de l'aimée dans la dépossession de soi.
C'est pourquoi, si sa poésie peut être rapprochée de celle de Rûmî, elle témoigne d'une radicalité plus grande encore. Il frappe de son ironie irrespectueuse, déjouant a fascination mystique dont s'alimente le soufisme et chante l'amour de l'aimée dans la dépossession de soi.