L'âme du violon

Par : Marie Charvet
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  • Nombre de pages285
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.16 kg
  • Dimensions11,0 cm × 17,8 cm × 1,8 cm
  • ISBN978-2-290-22533-2
  • EAN9782290225332
  • Date de parution10/02/2021
  • CollectionJ'ai lu
  • ÉditeurJ'ai lu

Résumé

Un artisan luthier au XVIIe siècle consacre sa vie et son talent à un célèbre atelier italien quand un drame le force à passer la main ; un tzigane orphelin vit de sa musique et sillonne les routes de France dans les années 1930 en rêvant d'Amérique ; une jeune femme bohème enchaîne les petits boulots et espère voir un jour ses toiles exposées dans le Paris contemporain ; un P-DG infatigable, dont le coeur n'est touché que par les airs classiques qui résonnent dans son bureau new-yorkais, fait une rencontre qui réenchante sa vie...
Si différentes soient-elles, ces quatre destinées sont liées par un violon singulier dont l'âme traverse le temps et l'espace.
Un artisan luthier au XVIIe siècle consacre sa vie et son talent à un célèbre atelier italien quand un drame le force à passer la main ; un tzigane orphelin vit de sa musique et sillonne les routes de France dans les années 1930 en rêvant d'Amérique ; une jeune femme bohème enchaîne les petits boulots et espère voir un jour ses toiles exposées dans le Paris contemporain ; un P-DG infatigable, dont le coeur n'est touché que par les airs classiques qui résonnent dans son bureau new-yorkais, fait une rencontre qui réenchante sa vie...
Si différentes soient-elles, ces quatre destinées sont liées par un violon singulier dont l'âme traverse le temps et l'espace.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

2/5
sur 1 note dont 1 avis lecteur
Une histoire agréable mais dont j'attendais beaucoup plus
Un luthier de Brescia au 17ème siècle, un gitan virtuose du jazz manouche dans les années trente, une jeune femme peintre et sans ressources, un homme d’affaires mélomane et collectionneur d’instruments : ces personnages ont pour seul lien un violon d’exception qui va jouer un rôle essentiel dans leurs existences. L’alternance de récits autour d’un unique objet qui traverse les lieux et les époques n’est pas un exercice inédit : pour ne citer que quelques exemples, Laetitia Colombani, Tracy Chevalier ou Jessie Burton s’y sont déjà prêtées. Pas d’effet de surprise donc quant à la construction de ce roman, dont on devine assez rapidement la trame et l’issue. La thématique choisie est ici la musique, incarnée notamment par un violon et son luthier : occasion de se plonger dans un univers intéressant. Des quatre récits qui s’enchevêtrent, c’est celui de Giuseppe le luthier qui m’a le plus séduite. Même si le sujet n’est pas la spécialité de l’auteur, ses efforts de documentation lui ont permis de recréer avec pertinence l’ambiance de l’atelier et l’amour de l’artisan pour son travail. En revanche, les autres parties du roman, trop sentimentales et pas assez crédibles, m’ont déçue : le personnage de Lucie m’a semblé fade, celui de Charles horripilant. Et puis, entre l’apprentissage de l’italien en dix jours qui permet à notre homme d’affaires de s’exprimer avec un bon accent et de déchiffrer, - certes avec difficulté -, des manuscrits en italien ancien, l’arrivée aux Etats-Unis de Lazlo le gitan en 1935 sans passer par Ellis Island et ses retrouvailles quasi immédiates avec son ami sur lequel il tombe quasiment par hasard, le récit prend quelques raccourcis afin de réussir à boucler l’intrigue. Et c’est même l’agacement qui, à plusieurs reprises, a pointé son nez au cours de ma lecture, tant certains développements de l’histoire m’ont semblé convenus et presque caricaturaux. J’attendais sans doute trop de ce roman qui m’a laissée sur ma faim. Il faut le lire comme une histoire simplement agréable, sans grande surprise, mais au style fluide et facile, pour un moment de détente sans prétention.
Un luthier de Brescia au 17ème siècle, un gitan virtuose du jazz manouche dans les années trente, une jeune femme peintre et sans ressources, un homme d’affaires mélomane et collectionneur d’instruments : ces personnages ont pour seul lien un violon d’exception qui va jouer un rôle essentiel dans leurs existences. L’alternance de récits autour d’un unique objet qui traverse les lieux et les époques n’est pas un exercice inédit : pour ne citer que quelques exemples, Laetitia Colombani, Tracy Chevalier ou Jessie Burton s’y sont déjà prêtées. Pas d’effet de surprise donc quant à la construction de ce roman, dont on devine assez rapidement la trame et l’issue. La thématique choisie est ici la musique, incarnée notamment par un violon et son luthier : occasion de se plonger dans un univers intéressant. Des quatre récits qui s’enchevêtrent, c’est celui de Giuseppe le luthier qui m’a le plus séduite. Même si le sujet n’est pas la spécialité de l’auteur, ses efforts de documentation lui ont permis de recréer avec pertinence l’ambiance de l’atelier et l’amour de l’artisan pour son travail. En revanche, les autres parties du roman, trop sentimentales et pas assez crédibles, m’ont déçue : le personnage de Lucie m’a semblé fade, celui de Charles horripilant. Et puis, entre l’apprentissage de l’italien en dix jours qui permet à notre homme d’affaires de s’exprimer avec un bon accent et de déchiffrer, - certes avec difficulté -, des manuscrits en italien ancien, l’arrivée aux Etats-Unis de Lazlo le gitan en 1935 sans passer par Ellis Island et ses retrouvailles quasi immédiates avec son ami sur lequel il tombe quasiment par hasard, le récit prend quelques raccourcis afin de réussir à boucler l’intrigue. Et c’est même l’agacement qui, à plusieurs reprises, a pointé son nez au cours de ma lecture, tant certains développements de l’histoire m’ont semblé convenus et presque caricaturaux. J’attendais sans doute trop de ce roman qui m’a laissée sur ma faim. Il faut le lire comme une histoire simplement agréable, sans grande surprise, mais au style fluide et facile, pour un moment de détente sans prétention.
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