L'âme de la Comtesse Adrian
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages154
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.235 kg
- Dimensions14,0 cm × 24,0 cm × 1,1 cm
- ISBN978-2-84362-730-9
- EAN9782843627309
- Date de parution14/02/2025
- CollectionTerres fantastiques
- ÉditeurTerre de Brume (Editions)
- PostfacierJean de Marigny
Résumé
Moins connu et donc moins populaire que son proche cousin, le vampire buveur de sang, le vampire psychique est tout aussi dangereux pour l'homme car, lui aussi, peut provoquer la mort de ses victimes. Rosa Campbell Praed nous en fournit un bon exemple avec L'Ame de la Comtesse Adrian, roman publié en 1891, soit six ans avant le Dracula de Bram Stoker. Son héroïne apparaît comme la quintessence de la Belle, intelligente et cultivée, elle séduit sans peine les hommes pour mieux les conduire à leur perte. L'artiste peintre, Bernard Lenson en fera l'amère expérience. Elle a, en outre, l'extraordinaire pouvoir de s'emparer à volonté de l'esprit, ou si l'on préfère, de l'âme de ses victimes. Personnage tragique, à la fois admirée et rejetée parla société, elle est obsédée par l'idée de la mort. De plus, ce roman offre une vision cruelle et ironique de la bourgeoisie victorienne, à la fois moralisatrice et superficielle, friande de mondanités et de ragots, qui pratique volontiers l'ésotérisme, s'intéresse à la mode, tout en restant très prude et très conservatrice.
Moins connu et donc moins populaire que son proche cousin, le vampire buveur de sang, le vampire psychique est tout aussi dangereux pour l'homme car, lui aussi, peut provoquer la mort de ses victimes. Rosa Campbell Praed nous en fournit un bon exemple avec L'Ame de la Comtesse Adrian, roman publié en 1891, soit six ans avant le Dracula de Bram Stoker. Son héroïne apparaît comme la quintessence de la Belle, intelligente et cultivée, elle séduit sans peine les hommes pour mieux les conduire à leur perte. L'artiste peintre, Bernard Lenson en fera l'amère expérience. Elle a, en outre, l'extraordinaire pouvoir de s'emparer à volonté de l'esprit, ou si l'on préfère, de l'âme de ses victimes. Personnage tragique, à la fois admirée et rejetée parla société, elle est obsédée par l'idée de la mort. De plus, ce roman offre une vision cruelle et ironique de la bourgeoisie victorienne, à la fois moralisatrice et superficielle, friande de mondanités et de ragots, qui pratique volontiers l'ésotérisme, s'intéresse à la mode, tout en restant très prude et très conservatrice.