L'Aide humanitaire entre la politique et les affaires

Par : Charles Condamines

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  • Nombre de pages234
  • PrésentationBroché
  • Poids0.402 kg
  • Dimensions1,6 cm × 2,4 cm × 0,1 cm
  • ISBN2-7384-0445-6
  • EAN9782738404459
  • Date de parution01/10/1989
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Plus de 2 millions de donateurs, plus d'1 milliard de francs de recettes, 25 000 militants, 2000 volontaires et un secrétaire d'Etat à l'Action humanitaire. Voilà ce que pèse la charité / solidarité française pour le prochain lointain. Les autres pays riches sont en général plus généreux. Pour atteindre le budget d'OXFAM, une association privée anglaise, il faut additionner ceux de Médecins du monde, Médecins sans frontières, Comité catholique contre la faim et pour le développement, Terre des hommes, Frères des hommes et la Cimade.
Tous comptes faits et même si on en parle parfois à la télévision, l'humanitarisme à la française est relativement sous-développé. Et, dans la patrie des Droits de l'homme, la tendance est plutôt à la baisse. Pourquoi ? A quelles conditions, entre l'ordre des princes qui nous gouvernent et celui des marchands, l'humanitaire, peut-il trouver l'espace d'un développement à la fois réaliste et vigoureux ?
Plus de 2 millions de donateurs, plus d'1 milliard de francs de recettes, 25 000 militants, 2000 volontaires et un secrétaire d'Etat à l'Action humanitaire. Voilà ce que pèse la charité / solidarité française pour le prochain lointain. Les autres pays riches sont en général plus généreux. Pour atteindre le budget d'OXFAM, une association privée anglaise, il faut additionner ceux de Médecins du monde, Médecins sans frontières, Comité catholique contre la faim et pour le développement, Terre des hommes, Frères des hommes et la Cimade.
Tous comptes faits et même si on en parle parfois à la télévision, l'humanitarisme à la française est relativement sous-développé. Et, dans la patrie des Droits de l'homme, la tendance est plutôt à la baisse. Pourquoi ? A quelles conditions, entre l'ordre des princes qui nous gouvernent et celui des marchands, l'humanitaire, peut-il trouver l'espace d'un développement à la fois réaliste et vigoureux ?