L'âge d'or du cinéma fantastique italien. Quand l'Italie dominait le genre

Par : Alain Schlockoff
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  • Nombre de pages271
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.93 kg
  • Dimensions19,6 cm × 27,1 cm × 2,2 cm
  • ISBN979-10-96794-23-2
  • EAN9791096794232
  • Date de parution14/03/2025
  • CollectionLe tour du monde du fantastiqu
  • ÉditeurL'écran fantastique collection

Résumé

Après la Seconde Guerre mondiale, le cinéma italien s'est distingué sur la scène européenne et mondiale grâce à des comédies comme Pain, amour, etc. de Luigi Comencini (1953-1954) et Le Pigeon de Mario Monicelli (1958), mais aussi à travers le néoréalisme de Vittorio De Sica (Le Voleur de bicyclette, 1948), Federico Fellini (La Strada, 1954) ou Renato Castellani (Deux sous d'espoir, Palme d'Or en 1951).
Dès la fin des années 1950, il élargit ses horizons en s'appropriant et en transcendant des genres venus d'ailleurs, notamment des Etats-Unis. Les péplums mythologiques, avec Hercule ou Maciste, ainsi que les westerns "spaghetti" transformés en oeuvres singulières, en sont des exemples frappants, tout comme l'émergence du Giallo, qui pousse le film noir à l'extrême. Ces productions, souvent qualifiées de "cultes", doivent beaucoup à des figures comme Sergio Leone.
Parallèlement, le cinéma d'horreur, fantastique et de science-fiction italien a rivalisé avec les oeuvres anglo-saxonnes, attirant des légendes comme Boris Karloff, Vincent Price et Barbara Steele. Des réalisateurs tels que Mario Bava (Le Masque du démon, 1960), Dario Argento (Les Frissons de l'angoisse, 1975) et Lucio Fulci (Frayeurs, 1980) ont marqué durablement les esprits en explorant des thématiques audacieuses comme la nécrophilie ou le sadomasochisme.
Aujourd'hui, leurs oeuvres continuent d'être célébrées à travers rééditions, rétrospectives et études, témoignant de leur impact indélébile sur le cinéma mondial.
Après la Seconde Guerre mondiale, le cinéma italien s'est distingué sur la scène européenne et mondiale grâce à des comédies comme Pain, amour, etc. de Luigi Comencini (1953-1954) et Le Pigeon de Mario Monicelli (1958), mais aussi à travers le néoréalisme de Vittorio De Sica (Le Voleur de bicyclette, 1948), Federico Fellini (La Strada, 1954) ou Renato Castellani (Deux sous d'espoir, Palme d'Or en 1951).
Dès la fin des années 1950, il élargit ses horizons en s'appropriant et en transcendant des genres venus d'ailleurs, notamment des Etats-Unis. Les péplums mythologiques, avec Hercule ou Maciste, ainsi que les westerns "spaghetti" transformés en oeuvres singulières, en sont des exemples frappants, tout comme l'émergence du Giallo, qui pousse le film noir à l'extrême. Ces productions, souvent qualifiées de "cultes", doivent beaucoup à des figures comme Sergio Leone.
Parallèlement, le cinéma d'horreur, fantastique et de science-fiction italien a rivalisé avec les oeuvres anglo-saxonnes, attirant des légendes comme Boris Karloff, Vincent Price et Barbara Steele. Des réalisateurs tels que Mario Bava (Le Masque du démon, 1960), Dario Argento (Les Frissons de l'angoisse, 1975) et Lucio Fulci (Frayeurs, 1980) ont marqué durablement les esprits en explorant des thématiques audacieuses comme la nécrophilie ou le sadomasochisme.
Aujourd'hui, leurs oeuvres continuent d'être célébrées à travers rééditions, rétrospectives et études, témoignant de leur impact indélébile sur le cinéma mondial.