Sous couvert d'aide au développement, d'aide bilatérale ou de coopération économique, les pays qui s'invitent au chevet de l'Afrique visent toujours ses ressources naturelles et ses marchés à venir. Qu'il s'agisse de la Chine, des Etats-Unis, de la Russie, d'Israël, du Japon, des monarchies du golfe Persique ou d'anciennes puissances coloniales comme l'Allemagne, la Belgique, l'Espagne, la France, l'Italie, le Portugal ou le Royaume-Uni, le gagnant-gagnant demeure asymétrique et un leurre.
Sous couvert d'aide au développement, d'aide bilatérale ou de coopération économique, les pays qui s'invitent au chevet de l'Afrique visent toujours ses ressources naturelles et ses marchés à venir. Qu'il s'agisse de la Chine, des Etats-Unis, de la Russie, d'Israël, du Japon, des monarchies du golfe Persique ou d'anciennes puissances coloniales comme l'Allemagne, la Belgique, l'Espagne, la France, l'Italie, le Portugal ou le Royaume-Uni, le gagnant-gagnant demeure asymétrique et un leurre.