L'Afrique des réseaux et mondialisation
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages204
- PrésentationBroché
- Poids0.35 kg
- Dimensions16,1 cm × 24,0 cm × 1,8 cm
- ISBN2-84586-390-X
- EAN9782845863903
- Date de parution24/07/2003
- CollectionHommes et Sociétés
- ÉditeurKarthala
- CompilateurFrançois Bart
- CompilateurAnnie Lenoble-Bart
Résumé
Dans quelle mesure les dynamiques sociales de réseaux, si ancrées dans les cultures africaines, suscitent-elles des processus d'adhésion et de participation à la mondialisation ? Les réponses de chercheurs d'équipes d'horizons divers sont multiformes, à l'image de la richesse des processus d'appropriation ou de réappropriation par les Africains, ouverts aux diasporas, de tout ce qui peut accompagner les solidarités : associations de femmes ou de jeunes, à dimensions locales ou internationales, réseaux professionnels ou ludiques, le tout à l'heure des dures lois des marchés, du tourisme concerté ou subi, de l'avion et de l'internet.
Les liens sociaux ainsi renouvelés servent-ils de vecteurs aux modèles de développement, de pensée, de culture de système-monde au moment où la Chine et l'Inde sont en train de prendre une place de plus en plus importante à défaut d'imposer des modèles ? A contrario, produisent-ils des formes d'autonomie, voire de résistance à la mondialisation débouchant sur de véritables replis identitaires au nom de l'authenticité, de la négritude, du self reliance, du nationalisme ou de l'indépendance ? Cette réflexion a été lancée au début de 2001 dans le cadre d'une recherche expérimentale sur les " dynamiques locales de la mondialisation les Afriques en perspectives " pour le nouveau contrat d'objectifs de la Maison des Sciences de l'Homme d'Aquitaine. Les contributions émanent d'approches de ces questions par différentes disciplines des sciences humaines et sociales : géographie, sciences politiques, anthropologie, sociologie ou information-communication.
Dans quelle mesure les dynamiques sociales de réseaux, si ancrées dans les cultures africaines, suscitent-elles des processus d'adhésion et de participation à la mondialisation ? Les réponses de chercheurs d'équipes d'horizons divers sont multiformes, à l'image de la richesse des processus d'appropriation ou de réappropriation par les Africains, ouverts aux diasporas, de tout ce qui peut accompagner les solidarités : associations de femmes ou de jeunes, à dimensions locales ou internationales, réseaux professionnels ou ludiques, le tout à l'heure des dures lois des marchés, du tourisme concerté ou subi, de l'avion et de l'internet.
Les liens sociaux ainsi renouvelés servent-ils de vecteurs aux modèles de développement, de pensée, de culture de système-monde au moment où la Chine et l'Inde sont en train de prendre une place de plus en plus importante à défaut d'imposer des modèles ? A contrario, produisent-ils des formes d'autonomie, voire de résistance à la mondialisation débouchant sur de véritables replis identitaires au nom de l'authenticité, de la négritude, du self reliance, du nationalisme ou de l'indépendance ? Cette réflexion a été lancée au début de 2001 dans le cadre d'une recherche expérimentale sur les " dynamiques locales de la mondialisation les Afriques en perspectives " pour le nouveau contrat d'objectifs de la Maison des Sciences de l'Homme d'Aquitaine. Les contributions émanent d'approches de ces questions par différentes disciplines des sciences humaines et sociales : géographie, sciences politiques, anthropologie, sociologie ou information-communication.