L'affaire Girard-Cadière. Justice, satire et religion au XVIIIe siècle
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- Nombre de pages305
- PrésentationBroché
- Poids0.502 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,7 cm
- ISBN979-10-320-0035-9
- EAN9791032000359
- Date de parution25/02/2016
- CollectionLe temps de l'histoire
- ÉditeurPU de Provence
- PréfacierJoël Fouilleron
Résumé
En 1728, à Toulon, Jean-Baptiste Girard, 48 ans, jésuite, est accusé d'avoir abusé d'une de ses pénitentes, Catherine Cadière, 19 ans, disposée aux élans mystiques. Le fait divers provoque un scandale et se transforme en affaire : en 1731, un procès s'ouvre à Aix-en-Provence. L'opinion publique se passionne : on se divise, on s'invective, on rit ; les polygraphes, les satiristes comme les épistoliers contribuent à diffuser le récit et le commentaire des péripéties de la procédure.
Un des enjeux de ce travail est d'étudier la circulation de l'information et d'explorer la pluralité des productions écrites et iconographiques du xviiie siècle. Au final, beaucoup de bruit pour rien : le jésuite comme la pénitente sont relaxés. Pour autant, l'affaire n'est pas terminée. Au xixe siècle (avec Michelet, entre autres), comme au xxe siècle, l'histoire resurgit, selon les enjeux du temps : chacun peut s'y retrouver par le jeu de la fiction ou de la polémique.
Le livre interroge aussi ces mémoires de l'affaire, en examinant les multiples réécritures qui, du xviiie siècle à nos jours, oscillent entre fascination et défiance. Aujourd'hui encore, les éléments savoureux de cet objet historique singulier permettent à chacun de s'y retrouver.
Un des enjeux de ce travail est d'étudier la circulation de l'information et d'explorer la pluralité des productions écrites et iconographiques du xviiie siècle. Au final, beaucoup de bruit pour rien : le jésuite comme la pénitente sont relaxés. Pour autant, l'affaire n'est pas terminée. Au xixe siècle (avec Michelet, entre autres), comme au xxe siècle, l'histoire resurgit, selon les enjeux du temps : chacun peut s'y retrouver par le jeu de la fiction ou de la polémique.
Le livre interroge aussi ces mémoires de l'affaire, en examinant les multiples réécritures qui, du xviiie siècle à nos jours, oscillent entre fascination et défiance. Aujourd'hui encore, les éléments savoureux de cet objet historique singulier permettent à chacun de s'y retrouver.
En 1728, à Toulon, Jean-Baptiste Girard, 48 ans, jésuite, est accusé d'avoir abusé d'une de ses pénitentes, Catherine Cadière, 19 ans, disposée aux élans mystiques. Le fait divers provoque un scandale et se transforme en affaire : en 1731, un procès s'ouvre à Aix-en-Provence. L'opinion publique se passionne : on se divise, on s'invective, on rit ; les polygraphes, les satiristes comme les épistoliers contribuent à diffuser le récit et le commentaire des péripéties de la procédure.
Un des enjeux de ce travail est d'étudier la circulation de l'information et d'explorer la pluralité des productions écrites et iconographiques du xviiie siècle. Au final, beaucoup de bruit pour rien : le jésuite comme la pénitente sont relaxés. Pour autant, l'affaire n'est pas terminée. Au xixe siècle (avec Michelet, entre autres), comme au xxe siècle, l'histoire resurgit, selon les enjeux du temps : chacun peut s'y retrouver par le jeu de la fiction ou de la polémique.
Le livre interroge aussi ces mémoires de l'affaire, en examinant les multiples réécritures qui, du xviiie siècle à nos jours, oscillent entre fascination et défiance. Aujourd'hui encore, les éléments savoureux de cet objet historique singulier permettent à chacun de s'y retrouver.
Un des enjeux de ce travail est d'étudier la circulation de l'information et d'explorer la pluralité des productions écrites et iconographiques du xviiie siècle. Au final, beaucoup de bruit pour rien : le jésuite comme la pénitente sont relaxés. Pour autant, l'affaire n'est pas terminée. Au xixe siècle (avec Michelet, entre autres), comme au xxe siècle, l'histoire resurgit, selon les enjeux du temps : chacun peut s'y retrouver par le jeu de la fiction ou de la polémique.
Le livre interroge aussi ces mémoires de l'affaire, en examinant les multiples réécritures qui, du xviiie siècle à nos jours, oscillent entre fascination et défiance. Aujourd'hui encore, les éléments savoureux de cet objet historique singulier permettent à chacun de s'y retrouver.