Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Dans la nuit du 26 février 1995, six personnes, toutes de nationalité russe, sont assassinées dans un pavillon cossu de Louveciennes, en région parisienne....
Lire la suite
16,77 €
Neuf
Actuellement indisponible
Résumé
Dans la nuit du 26 février 1995, six personnes, toutes de nationalité russe, sont assassinées dans un pavillon cossu de Louveciennes, en région parisienne. Le lendemain, le fils de la maison avoue. Il voulait tuer son père, dit-il. Alexi devient immédiatement l' " auteur du sextuple meurtre de Louveciennes ".
Le père est l'un de ces nouveaux hommes d'affaires russes issus de la Perestroïka qui brassent les millions de dollars avec appétit. Les meurtres sont signés d'une main experte. Peu de tirs, tous mortels, un coup de grâce à chacun, avec une prédilection pour la nuque ou la tempe.
Quelques mois plus tard, le jeune garçon se rétracte : il a été contraint d'avouer sous la menace, affirme-t-il. Un homme cagoulé lui aurait dit en russe : " Tu vois de quoi on est capable ? Remercie ton père. "
Alors, parricide ou règlement de compte ? La justice française penche pour la thèse du parricide. Mais un septième mort bouscule bientôt les certitudes : l'oncle d'Alexi, qui a pris la succession du père dans ses affaires, est à son tour assassiné. La justice russe s'alarme. Sur fond de Russie en pleine explosion capitaliste, l'histoire d'Alexi prend parfois des allures de roman policier. Pourtant, les morts sont réels, et Alexi est en prison depuis trois ans.
Journaliste, Catherine Erhel a longtemps collaboré à Libération, notamment dans la rubrique judiciaire. Elle a suivi l'affaire Alexi pour Le Nouvel Observateur.