L'adoption en Russie, 1917-2017. Une institution humanitaire dans les cahots de l'idéologie et de l'histoire
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- Nombre de pages400
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.629 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,2 cm
- ISBN978-2-343-17668-0
- EAN9782343176680
- Date de parution28/02/2020
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
En 1918, les bolcheviques suppriment l'adoption. L'Etat se déclare tuteur de tous les enfants sans famille et les place dans des institutions. En 1926, l'adoption est réhabilitée mais elle n'a pas été assez encouragée face à l'énormité des besoins et, pour des raisons idéologiques, la priorité reste donnée au placement collectif plutôt qu'individuel. L'adoption est redécouverte après la chute du communisme et l'Etat priorise l'adoption des enfants sans famille.
La perestroïka ouvre le pays à l'adoption internationale, des milliers d'Occidentaux se tournent alors vers la Russie pour adopter. Depuis vingt-cinq ans des études sur l'adoption, tant juridiques que sociologiques, des enquêtes d'opinion se multiplient en Russie. Ces travaux apportent alors une réponse aux questions posées des années plus tôt : pourquoi adopter ? qui sont les enfants adoptés ? qui sont les adoptants ? Bien qu'institution humanitaire, l'adoption va, elle aussi, souffrir des grands maux que connaît la Russie : les dysfonctionnements de l'administration et la corruption en tout genre.
La perestroïka ouvre le pays à l'adoption internationale, des milliers d'Occidentaux se tournent alors vers la Russie pour adopter. Depuis vingt-cinq ans des études sur l'adoption, tant juridiques que sociologiques, des enquêtes d'opinion se multiplient en Russie. Ces travaux apportent alors une réponse aux questions posées des années plus tôt : pourquoi adopter ? qui sont les enfants adoptés ? qui sont les adoptants ? Bien qu'institution humanitaire, l'adoption va, elle aussi, souffrir des grands maux que connaît la Russie : les dysfonctionnements de l'administration et la corruption en tout genre.
En 1918, les bolcheviques suppriment l'adoption. L'Etat se déclare tuteur de tous les enfants sans famille et les place dans des institutions. En 1926, l'adoption est réhabilitée mais elle n'a pas été assez encouragée face à l'énormité des besoins et, pour des raisons idéologiques, la priorité reste donnée au placement collectif plutôt qu'individuel. L'adoption est redécouverte après la chute du communisme et l'Etat priorise l'adoption des enfants sans famille.
La perestroïka ouvre le pays à l'adoption internationale, des milliers d'Occidentaux se tournent alors vers la Russie pour adopter. Depuis vingt-cinq ans des études sur l'adoption, tant juridiques que sociologiques, des enquêtes d'opinion se multiplient en Russie. Ces travaux apportent alors une réponse aux questions posées des années plus tôt : pourquoi adopter ? qui sont les enfants adoptés ? qui sont les adoptants ? Bien qu'institution humanitaire, l'adoption va, elle aussi, souffrir des grands maux que connaît la Russie : les dysfonctionnements de l'administration et la corruption en tout genre.
La perestroïka ouvre le pays à l'adoption internationale, des milliers d'Occidentaux se tournent alors vers la Russie pour adopter. Depuis vingt-cinq ans des études sur l'adoption, tant juridiques que sociologiques, des enquêtes d'opinion se multiplient en Russie. Ces travaux apportent alors une réponse aux questions posées des années plus tôt : pourquoi adopter ? qui sont les enfants adoptés ? qui sont les adoptants ? Bien qu'institution humanitaire, l'adoption va, elle aussi, souffrir des grands maux que connaît la Russie : les dysfonctionnements de l'administration et la corruption en tout genre.