L'Accent du pays, mille jours en France
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- Nombre de pages224
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.1 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 1,5 cm
- ISBN2-02-011457-7
- EAN9782020114578
- Date de parution01/12/1990
- CollectionCadre rouge
- ÉditeurSeuil
Résumé
Tous les voyages, au bout du compte, ramènent le voyageur chez lui. Il faudrait cultiver l'art du retour. On ne reconnaît plus tout à fait la France mais, pour elle, une passion neuve nous habite. On ne sait plus le nom des ministres ni celui des gloires du moment. On a oublié quelques rites essentiels de sa tribu d'origine. Mais on est curieux de tout, naturellement respectueux, pressé de mesurer l'ampleur des changements et la fatalité des provincialismes.
On ne revient jamais chez soi impunément ; l'oeil neuf, l'appétit retrouvé, une curiosité pour les choses et l'air du temps... De quoi étaient donc faits cette " odeur de la France " et cet accent du pays que l'on transportait avec soi sans toujours s'en rendre compte ? On trouvera notamment dans ce livre, qui est le journal d'un retour, un portrait de la France étalé sur un millier de jours : d'avril 1986 à septembre 1989.
Il est dédié à Jean-Paul Kauffmann qui, comme on le sait, fut absent du pays un peu plus de mille jours. J. -C. G.
On ne revient jamais chez soi impunément ; l'oeil neuf, l'appétit retrouvé, une curiosité pour les choses et l'air du temps... De quoi étaient donc faits cette " odeur de la France " et cet accent du pays que l'on transportait avec soi sans toujours s'en rendre compte ? On trouvera notamment dans ce livre, qui est le journal d'un retour, un portrait de la France étalé sur un millier de jours : d'avril 1986 à septembre 1989.
Il est dédié à Jean-Paul Kauffmann qui, comme on le sait, fut absent du pays un peu plus de mille jours. J. -C. G.
Tous les voyages, au bout du compte, ramènent le voyageur chez lui. Il faudrait cultiver l'art du retour. On ne reconnaît plus tout à fait la France mais, pour elle, une passion neuve nous habite. On ne sait plus le nom des ministres ni celui des gloires du moment. On a oublié quelques rites essentiels de sa tribu d'origine. Mais on est curieux de tout, naturellement respectueux, pressé de mesurer l'ampleur des changements et la fatalité des provincialismes.
On ne revient jamais chez soi impunément ; l'oeil neuf, l'appétit retrouvé, une curiosité pour les choses et l'air du temps... De quoi étaient donc faits cette " odeur de la France " et cet accent du pays que l'on transportait avec soi sans toujours s'en rendre compte ? On trouvera notamment dans ce livre, qui est le journal d'un retour, un portrait de la France étalé sur un millier de jours : d'avril 1986 à septembre 1989.
Il est dédié à Jean-Paul Kauffmann qui, comme on le sait, fut absent du pays un peu plus de mille jours. J. -C. G.
On ne revient jamais chez soi impunément ; l'oeil neuf, l'appétit retrouvé, une curiosité pour les choses et l'air du temps... De quoi étaient donc faits cette " odeur de la France " et cet accent du pays que l'on transportait avec soi sans toujours s'en rendre compte ? On trouvera notamment dans ce livre, qui est le journal d'un retour, un portrait de la France étalé sur un millier de jours : d'avril 1986 à septembre 1989.
Il est dédié à Jean-Paul Kauffmann qui, comme on le sait, fut absent du pays un peu plus de mille jours. J. -C. G.