L'abolition de la valeur
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- Nombre de pages335
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.368 kg
- Dimensions14,1 cm × 21,0 cm × 2,5 cm
- ISBN978-2-940426-38-6
- EAN9782940426386
- Date de parution26/10/2017
- CollectionLa rupture
- ÉditeurEntremonde
Résumé
Pour Marx, l'abolition de la valeur consiste en la suppression de l'échange et son remplacement par une économie planifiée où les hommes travaillent avec enthousiasme à la satisfaction de leurs besoins (le premier d'entre eux étant le travail lui-même). Et sa théorie de la valeur est tout imprégnée de ce point de vue. L'objet de L'Abolition de la valeur est de revisiter la théorie marxienne de la valeur en tenant compte des conditions actuelles du mode de production capitaliste - sans remettre en cause la trajectoire d'ensemble du Capital.
La différence essentielle avec l'époque de Marx est qu'il est devenu impossible d'envisager le communisme comme une économie d'"hommes libres" gérant leur travail par une planification commune. Notre époque permet de mettre au concret la théorie de la valeur en s'appuyant sur les caractéristiques pratiques, et non pas abstraites, du travail producteur de marchandises. Cela a des conséquences décisives sur la façon d'envisager l'abolition de la valeur et l'au-delà du capital et du travail.
Car il faut maintenant commencer à réfléchir à ce que pourrait être une société sans travail - ce qui ne veut pas dire sans production, mais sans usines, sans chronomètres, sans souffrance.
La différence essentielle avec l'époque de Marx est qu'il est devenu impossible d'envisager le communisme comme une économie d'"hommes libres" gérant leur travail par une planification commune. Notre époque permet de mettre au concret la théorie de la valeur en s'appuyant sur les caractéristiques pratiques, et non pas abstraites, du travail producteur de marchandises. Cela a des conséquences décisives sur la façon d'envisager l'abolition de la valeur et l'au-delà du capital et du travail.
Car il faut maintenant commencer à réfléchir à ce que pourrait être une société sans travail - ce qui ne veut pas dire sans production, mais sans usines, sans chronomètres, sans souffrance.
Pour Marx, l'abolition de la valeur consiste en la suppression de l'échange et son remplacement par une économie planifiée où les hommes travaillent avec enthousiasme à la satisfaction de leurs besoins (le premier d'entre eux étant le travail lui-même). Et sa théorie de la valeur est tout imprégnée de ce point de vue. L'objet de L'Abolition de la valeur est de revisiter la théorie marxienne de la valeur en tenant compte des conditions actuelles du mode de production capitaliste - sans remettre en cause la trajectoire d'ensemble du Capital.
La différence essentielle avec l'époque de Marx est qu'il est devenu impossible d'envisager le communisme comme une économie d'"hommes libres" gérant leur travail par une planification commune. Notre époque permet de mettre au concret la théorie de la valeur en s'appuyant sur les caractéristiques pratiques, et non pas abstraites, du travail producteur de marchandises. Cela a des conséquences décisives sur la façon d'envisager l'abolition de la valeur et l'au-delà du capital et du travail.
Car il faut maintenant commencer à réfléchir à ce que pourrait être une société sans travail - ce qui ne veut pas dire sans production, mais sans usines, sans chronomètres, sans souffrance.
La différence essentielle avec l'époque de Marx est qu'il est devenu impossible d'envisager le communisme comme une économie d'"hommes libres" gérant leur travail par une planification commune. Notre époque permet de mettre au concret la théorie de la valeur en s'appuyant sur les caractéristiques pratiques, et non pas abstraites, du travail producteur de marchandises. Cela a des conséquences décisives sur la façon d'envisager l'abolition de la valeur et l'au-delà du capital et du travail.
Car il faut maintenant commencer à réfléchir à ce que pourrait être une société sans travail - ce qui ne veut pas dire sans production, mais sans usines, sans chronomètres, sans souffrance.