Kulturkritik et philosophie thérapeutique chez le jeune Nietzsche

Par : Martine Béland

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  • Nombre de pages405
  • PrésentationBroché
  • Poids0.53 kg
  • Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 2,5 cm
  • ISBN978-2-7606-2289-0
  • EAN9782760622890
  • Date de parution12/10/2012
  • ÉditeurPU Montréal

Résumé

Dans la Grèce ancienne, on considérait la philosophie comme un remède aux maux de l'âme, comme une thérapeutique permettant à l'individu d'atteindre l'indépendance et la tranquillité d'esprit par la connaissance de soi. Il n'est pas étonnant de retrouver des échos de cette pensée sous la plume du jeune philologue Friedrich Nietzsche. Dans ses premiers écrits, Nietzsche, alors professeur à l'Université de Bâle, donne à cette préoccupation thérapeutique la forme de la Kulturkritik : le philosophe est un médecin qui lutte contre la maladie de la civilisation, en s'en prenant à la fois aux causes et aux manifestations du mal.
Cette entreprise l'amène à critiquer les postures caractéristiques du moderne : l'optimisme théorique, l'esprit scientifique, le relativisme historique, l'esthétique de l'imitation, la dignité accordée au travail. Martine Béland retrace les formes de la Kulturkritik en la rattachant au projet philosophique de Nietzsche d'entre 1869 et 1876, une époque essentielle pour comprendre la genèse de la pensée nietzschéenne.
Dans la Grèce ancienne, on considérait la philosophie comme un remède aux maux de l'âme, comme une thérapeutique permettant à l'individu d'atteindre l'indépendance et la tranquillité d'esprit par la connaissance de soi. Il n'est pas étonnant de retrouver des échos de cette pensée sous la plume du jeune philologue Friedrich Nietzsche. Dans ses premiers écrits, Nietzsche, alors professeur à l'Université de Bâle, donne à cette préoccupation thérapeutique la forme de la Kulturkritik : le philosophe est un médecin qui lutte contre la maladie de la civilisation, en s'en prenant à la fois aux causes et aux manifestations du mal.
Cette entreprise l'amène à critiquer les postures caractéristiques du moderne : l'optimisme théorique, l'esprit scientifique, le relativisme historique, l'esthétique de l'imitation, la dignité accordée au travail. Martine Béland retrace les formes de la Kulturkritik en la rattachant au projet philosophique de Nietzsche d'entre 1869 et 1876, une époque essentielle pour comprendre la genèse de la pensée nietzschéenne.
Mégaptère
Martine Béland
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