Kujoyama. Un Japon sans été
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- Nombre de pages146
- PrésentationBroché
- Poids0.425 kg
- Dimensions16,5 cm × 24,0 cm × 1,2 cm
- ISBN2-86853-418-X
- EAN9782868534187
- Date de parution07/01/2005
- ÉditeurTemps qu'il fait (Le)
Résumé
Sur le mont Haguro la nuit tombait avec la neige, féerique comme un rêve d'enfant. La voiture avait peiné sur les pentes verglacées des derniers kilomètres. On arrivait enfin au Dewa Sanzen jinja ! Le temple des trois montagnes sacrées. La secte Shugendo s'était installée ici depuis plusieurs siècles dans la pénombre de la forêt de cryptomeria. Le Shukubo, l'hôtellerie du monastère, autrefois destinée aux pèlerins de sexe masculin, était maintenant accessible à tous. Monsieur Fujishima m'avaient vanté le lieu pour son atmosphère authentique, la beauté des vieux temples couverts de chaume et les renommés Sansai Ryori : les repas végétariens des moines. J'avais aussi deviné, depuis la route qui se faufilait en lacets dans les sugi plusieurs fois centenaires, grâce aux lueurs de la neige endormie, la pagode de bois à cinq étages
Goju-No-To dont je me promis de retrouver au plus vite le silence. J'étais au cœur du Japon traditionnel et religieux comme je l'avais longtemps souhaité.
Sur le mont Haguro la nuit tombait avec la neige, féerique comme un rêve d'enfant. La voiture avait peiné sur les pentes verglacées des derniers kilomètres. On arrivait enfin au Dewa Sanzen jinja ! Le temple des trois montagnes sacrées. La secte Shugendo s'était installée ici depuis plusieurs siècles dans la pénombre de la forêt de cryptomeria. Le Shukubo, l'hôtellerie du monastère, autrefois destinée aux pèlerins de sexe masculin, était maintenant accessible à tous. Monsieur Fujishima m'avaient vanté le lieu pour son atmosphère authentique, la beauté des vieux temples couverts de chaume et les renommés Sansai Ryori : les repas végétariens des moines. J'avais aussi deviné, depuis la route qui se faufilait en lacets dans les sugi plusieurs fois centenaires, grâce aux lueurs de la neige endormie, la pagode de bois à cinq étages
Goju-No-To dont je me promis de retrouver au plus vite le silence. J'étais au cœur du Japon traditionnel et religieux comme je l'avais longtemps souhaité.