Krautrocksampler. Petit guide d'initiation à la grande komische muzik

Par : Julian Cope

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  • Nombre de pages209
  • PrésentationBroché
  • Poids0.21 kg
  • Dimensions11,5 cm × 18,5 cm × 1,3 cm
  • ISBN978-2-84162-168-2
  • EAN9782841621682
  • Date de parution04/06/2008
  • CollectionKargo
  • ÉditeurEclat (Editions de l')
  • TraducteurOlivier Berthe

Résumé

A la fin des années 1960, l'Allemagne de l'Ouest se met à table pour plus d'une décennie de choucroute musicale: bienvenue dans l'ère du krautrock, cette kosmische musik typiquement teutonne qui vit des groupes comme Can, Kraftwerk, Tangerine Dream, Amon Düül, Faust, Popol Vuh, Neu!, Cluster, La Düsseldorf, produire un free-rock à la fois cosmique et tellurique, réunion dans un même ascenseur de Sun Ra, des Stooges et des MC5. La génération post-Stockhausen ira plus loin que la plus reculée des planètes, et frappera plus fort que des Ores punks. D'Amon Düül jouant tels des péquenauds sous acide à Tangerine Dream et son ambient si planante qu'en comparaison The Orb appartient au genre du speed metal, en passant par le violon spectral de Tony Conrad, les marteaux-piqueurs , de Faust ou le Seven Up dopé de Timothy Leary dans les montagnes suisses, le krautrocker Julian Cope raconte à sa manière l'histoire de cette musique qui avale toute la misère du monde et où retentissent aussi, dans un proche lointain, le Velvet Underground, les Monks, John Peel et PIL, Hawkind, Joy Division, Iggy Pop, John Cale et Lou Reed, Funkadelik, Brian Eno... Avec en appendice un Top-5o tout en couleur des meilleurs disques de krautrock où sont décrites avec amour les fulgurances cosmiques d'un genre dont l'influence se prolongera bien au-delà des années 1980. Y'en a qui disent que le hasch vous transforme en épave, mais faites tourner quand même. C'est lui qui l'a dit.
A la fin des années 1960, l'Allemagne de l'Ouest se met à table pour plus d'une décennie de choucroute musicale: bienvenue dans l'ère du krautrock, cette kosmische musik typiquement teutonne qui vit des groupes comme Can, Kraftwerk, Tangerine Dream, Amon Düül, Faust, Popol Vuh, Neu!, Cluster, La Düsseldorf, produire un free-rock à la fois cosmique et tellurique, réunion dans un même ascenseur de Sun Ra, des Stooges et des MC5. La génération post-Stockhausen ira plus loin que la plus reculée des planètes, et frappera plus fort que des Ores punks. D'Amon Düül jouant tels des péquenauds sous acide à Tangerine Dream et son ambient si planante qu'en comparaison The Orb appartient au genre du speed metal, en passant par le violon spectral de Tony Conrad, les marteaux-piqueurs , de Faust ou le Seven Up dopé de Timothy Leary dans les montagnes suisses, le krautrocker Julian Cope raconte à sa manière l'histoire de cette musique qui avale toute la misère du monde et où retentissent aussi, dans un proche lointain, le Velvet Underground, les Monks, John Peel et PIL, Hawkind, Joy Division, Iggy Pop, John Cale et Lou Reed, Funkadelik, Brian Eno... Avec en appendice un Top-5o tout en couleur des meilleurs disques de krautrock où sont décrites avec amour les fulgurances cosmiques d'un genre dont l'influence se prolongera bien au-delà des années 1980. Y'en a qui disent que le hasch vous transforme en épave, mais faites tourner quand même. C'est lui qui l'a dit.