Kiefer-Rodin
Par : , , ,Formats :
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages288
- PrésentationRelié
- FormatGrand Format
- Poids1.562 kg
- Dimensions21,3 cm × 28,1 cm × 3,0 cm
- ISBN978-2-07-272047-5
- EAN9782072720475
- Date de parution16/03/2017
- ÉditeurGallimard/Musée Rodin/The Barnes Foundation
Résumé
En 2017, à l'heure du centenaire de la mort d'Auguste Rodin, le musée Rodin donne carte blanche à l'artiste allemand Anselm Kiefer. Les similitudes de parcours, de sources d'inspiration et de procédés créatifs de Kiefer et de Rodin mettent en évidence une originalité expérimentale. Ils exploitent tous les domaines, manipulent toutes les matières, empruntent les chemins de traverse et s'autorisent autant d'agencements et d'audacieuses mutations.
Attiré par les débris et abattis directement issus du ciment rodinien qu'il mêle aux reliques de sa propre vie et à d'autres matériaux inattendus, Anselm Kiefer réalise une série de vitrines totalement inédites. De la même manière, les moules de fabrication des sculptures exhumés, fatigués et salis, témoignent d'une vie passée et d'une autre à venir. Si Kiefer et Rodin jouent de tous les supports, usent de toutes les techniques pour comprendre ou digérer l'héritage du passé et assouvir leur amour du métier, ils célèbrent avant tout leur culte commun du travail à travers une même quête, celle de la vérité, jamais embellie.
lnvestissant la salle d'exposition et la cour du musée, l'exposition témoignera de la rencontre singulière de ces deux démiurges, pétris de liberté et affranchis de toutes contingences artistiques.
Attiré par les débris et abattis directement issus du ciment rodinien qu'il mêle aux reliques de sa propre vie et à d'autres matériaux inattendus, Anselm Kiefer réalise une série de vitrines totalement inédites. De la même manière, les moules de fabrication des sculptures exhumés, fatigués et salis, témoignent d'une vie passée et d'une autre à venir. Si Kiefer et Rodin jouent de tous les supports, usent de toutes les techniques pour comprendre ou digérer l'héritage du passé et assouvir leur amour du métier, ils célèbrent avant tout leur culte commun du travail à travers une même quête, celle de la vérité, jamais embellie.
lnvestissant la salle d'exposition et la cour du musée, l'exposition témoignera de la rencontre singulière de ces deux démiurges, pétris de liberté et affranchis de toutes contingences artistiques.
En 2017, à l'heure du centenaire de la mort d'Auguste Rodin, le musée Rodin donne carte blanche à l'artiste allemand Anselm Kiefer. Les similitudes de parcours, de sources d'inspiration et de procédés créatifs de Kiefer et de Rodin mettent en évidence une originalité expérimentale. Ils exploitent tous les domaines, manipulent toutes les matières, empruntent les chemins de traverse et s'autorisent autant d'agencements et d'audacieuses mutations.
Attiré par les débris et abattis directement issus du ciment rodinien qu'il mêle aux reliques de sa propre vie et à d'autres matériaux inattendus, Anselm Kiefer réalise une série de vitrines totalement inédites. De la même manière, les moules de fabrication des sculptures exhumés, fatigués et salis, témoignent d'une vie passée et d'une autre à venir. Si Kiefer et Rodin jouent de tous les supports, usent de toutes les techniques pour comprendre ou digérer l'héritage du passé et assouvir leur amour du métier, ils célèbrent avant tout leur culte commun du travail à travers une même quête, celle de la vérité, jamais embellie.
lnvestissant la salle d'exposition et la cour du musée, l'exposition témoignera de la rencontre singulière de ces deux démiurges, pétris de liberté et affranchis de toutes contingences artistiques.
Attiré par les débris et abattis directement issus du ciment rodinien qu'il mêle aux reliques de sa propre vie et à d'autres matériaux inattendus, Anselm Kiefer réalise une série de vitrines totalement inédites. De la même manière, les moules de fabrication des sculptures exhumés, fatigués et salis, témoignent d'une vie passée et d'une autre à venir. Si Kiefer et Rodin jouent de tous les supports, usent de toutes les techniques pour comprendre ou digérer l'héritage du passé et assouvir leur amour du métier, ils célèbrent avant tout leur culte commun du travail à travers une même quête, celle de la vérité, jamais embellie.
lnvestissant la salle d'exposition et la cour du musée, l'exposition témoignera de la rencontre singulière de ces deux démiurges, pétris de liberté et affranchis de toutes contingences artistiques.