Kennedy ou l'invention du mensonge

Par : Stéphane Trano

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages315
  • PrésentationBroché
  • Poids0.426 kg
  • Dimensions14,0 cm × 22,5 cm × 2,5 cm
  • ISBN978-2-8098-1267-1
  • EAN9782809812671
  • Date de parution06/11/2013
  • ÉditeurArchipel (L')

Résumé

L'Amérique a eu toutes sortes de présidents, mais elle n'a eu qu'un roi. Héritier de deux familles irlandaises parmi les plus puissantes de Boston, John Fitzgerald Kennedy a été, jusqu'au jour de son assassinat, un personnage construit par son entourage. Désigné par son père pour accomplir son propre destin présidentiel raté, après la mort tragique du frère aîné qui devait prendre la relève, John a été le premier homme politique inventé par le nouveau média dominant de l'après-guerre, la télévision, et façonné par le marketing.
Après sa mort, sa légende a été soigneusement entretenue par une censure puissamment organisée par sa famille, puis véhiculée par les historiens. Pourtant, les maladies qui le rongeaient depuis l'enfance, son obsession des femmes, ses relations dangereuses, les errements de sa pensée politique, les ressorts de son accession au pouvoir, représentent tout ce que l'Amérique déteste : la dissimulation, le parjure, la trahison, la corruption.
Cinquante ans après sa mort, le mystère le mieux caché de l'icône des Américains ne réside pas dans son assassinat, mais dans une existence totalement occultée par le mythe.
L'Amérique a eu toutes sortes de présidents, mais elle n'a eu qu'un roi. Héritier de deux familles irlandaises parmi les plus puissantes de Boston, John Fitzgerald Kennedy a été, jusqu'au jour de son assassinat, un personnage construit par son entourage. Désigné par son père pour accomplir son propre destin présidentiel raté, après la mort tragique du frère aîné qui devait prendre la relève, John a été le premier homme politique inventé par le nouveau média dominant de l'après-guerre, la télévision, et façonné par le marketing.
Après sa mort, sa légende a été soigneusement entretenue par une censure puissamment organisée par sa famille, puis véhiculée par les historiens. Pourtant, les maladies qui le rongeaient depuis l'enfance, son obsession des femmes, ses relations dangereuses, les errements de sa pensée politique, les ressorts de son accession au pouvoir, représentent tout ce que l'Amérique déteste : la dissimulation, le parjure, la trahison, la corruption.
Cinquante ans après sa mort, le mystère le mieux caché de l'icône des Américains ne réside pas dans son assassinat, mais dans une existence totalement occultée par le mythe.