Kamerun, l'indépendance piégée. De la lutte de libération à la lutte contre le néocolonialisme
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- Nombre de pages272
- PrésentationBroché
- Poids0.44 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,2 cm
- ISBN978-2-296-55523-5
- EAN9782296555235
- Date de parution01/09/2011
- CollectionRacines du présent
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierOdile Tobner
Résumé
Au lendemain de la guerre d'Indochine, la France coloniale en
a mené deux autres, l'Algérie bien sûr, mais aussi celle qu'il
faudra bien reconnaître un jour sous le nom de guerre du
Cameroun, à la fois dernière guerre coloniale et première
intervention néo-coloniale après "l'indépendance" toute
théorique de 1960. Une répression amorcée en 1955 avec
l'interdiction de l'Union des Populations du Cameroun (UPC)
et achevée en 1970 avec l'éradication des derniers maquis.
De l'assassinat de Um Nyobé par l'armée française (septembre 1958) à celui d'Ouandié par le régime Ahidjo (janvier 1971). Entre-temps, les dizaines de milliers de morts faits par ce que Michel Debré appelait froidement la "reconquête"... Après une longue période de clandestinité, l'UPC réapparaît sur l'avant- scène début des années 90 et poursuit son combat pour la revendication, toujours actuelle, d'indépendance nationale et de construction d'une Afrique délivrée des dominations étrangères.
De l'assassinat de Um Nyobé par l'armée française (septembre 1958) à celui d'Ouandié par le régime Ahidjo (janvier 1971). Entre-temps, les dizaines de milliers de morts faits par ce que Michel Debré appelait froidement la "reconquête"... Après une longue période de clandestinité, l'UPC réapparaît sur l'avant- scène début des années 90 et poursuit son combat pour la revendication, toujours actuelle, d'indépendance nationale et de construction d'une Afrique délivrée des dominations étrangères.
Au lendemain de la guerre d'Indochine, la France coloniale en
a mené deux autres, l'Algérie bien sûr, mais aussi celle qu'il
faudra bien reconnaître un jour sous le nom de guerre du
Cameroun, à la fois dernière guerre coloniale et première
intervention néo-coloniale après "l'indépendance" toute
théorique de 1960. Une répression amorcée en 1955 avec
l'interdiction de l'Union des Populations du Cameroun (UPC)
et achevée en 1970 avec l'éradication des derniers maquis.
De l'assassinat de Um Nyobé par l'armée française (septembre 1958) à celui d'Ouandié par le régime Ahidjo (janvier 1971). Entre-temps, les dizaines de milliers de morts faits par ce que Michel Debré appelait froidement la "reconquête"... Après une longue période de clandestinité, l'UPC réapparaît sur l'avant- scène début des années 90 et poursuit son combat pour la revendication, toujours actuelle, d'indépendance nationale et de construction d'une Afrique délivrée des dominations étrangères.
De l'assassinat de Um Nyobé par l'armée française (septembre 1958) à celui d'Ouandié par le régime Ahidjo (janvier 1971). Entre-temps, les dizaines de milliers de morts faits par ce que Michel Debré appelait froidement la "reconquête"... Après une longue période de clandestinité, l'UPC réapparaît sur l'avant- scène début des années 90 et poursuit son combat pour la revendication, toujours actuelle, d'indépendance nationale et de construction d'une Afrique délivrée des dominations étrangères.