Julio Cortázar : fantastique et nouveau fantastique. Les territoires de l'insondable
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- Nombre de pages395
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.544 kg
- Dimensions14,8 cm × 20,0 cm × 2,3 cm
- ISBN979-10-300-0486-1
- EAN9791030004861
- Date de parution05/12/2019
- CollectionParcours Universitaires
- ÉditeurPU Bordeaux
Résumé
Rares sont les études parues en France sur Julio Cortázar, l'un des grands écrivains latino-américains du XXe siècle, alors qu'il y connut le succès durant la seconde partie de sa vie, en tant que Parisien d'adoption et que l'on dispose, depuis la fin des années 2000, de beaux volumes rassemblant l'ensemble de ses récits et nouvelles. La présente étude propose une mise en perspective de son oeuvre et un approfondissement de son interprétation.
Héritiers de plusieurs traditions (littérature gothique, nouvelle fantastique d'Argentine et d'Uruguay, surréalisme, existentialisme), les récits de Cortázar proposent un subtil mélange qui renouvelle le genre et met en échec les théories du fantastique. Sa culture littéraire, hispanique et anglophone, en fait également un redoutable nouvelliste. En prenant principalement appui sur l'un de ses derniers recueils, Nous l'aimons tant, Glenda (1980), l'étude de son écriture met ici en évidence sa maîtrise des genres mais aussi ce qui demeure sous-jacent, à savoir la mise en avant de l'insondable du monde et du moi, de la subjectivité et de son opacité — y compris au travers d'un discours du désir amoureux, peu étudié jusqu'ici —, sans oublier le questionnement sur le contexte politique des années 1970 en Amérique latine que le traitement fantastique rend paradoxalement énigmatique.
Héritiers de plusieurs traditions (littérature gothique, nouvelle fantastique d'Argentine et d'Uruguay, surréalisme, existentialisme), les récits de Cortázar proposent un subtil mélange qui renouvelle le genre et met en échec les théories du fantastique. Sa culture littéraire, hispanique et anglophone, en fait également un redoutable nouvelliste. En prenant principalement appui sur l'un de ses derniers recueils, Nous l'aimons tant, Glenda (1980), l'étude de son écriture met ici en évidence sa maîtrise des genres mais aussi ce qui demeure sous-jacent, à savoir la mise en avant de l'insondable du monde et du moi, de la subjectivité et de son opacité — y compris au travers d'un discours du désir amoureux, peu étudié jusqu'ici —, sans oublier le questionnement sur le contexte politique des années 1970 en Amérique latine que le traitement fantastique rend paradoxalement énigmatique.
Rares sont les études parues en France sur Julio Cortázar, l'un des grands écrivains latino-américains du XXe siècle, alors qu'il y connut le succès durant la seconde partie de sa vie, en tant que Parisien d'adoption et que l'on dispose, depuis la fin des années 2000, de beaux volumes rassemblant l'ensemble de ses récits et nouvelles. La présente étude propose une mise en perspective de son oeuvre et un approfondissement de son interprétation.
Héritiers de plusieurs traditions (littérature gothique, nouvelle fantastique d'Argentine et d'Uruguay, surréalisme, existentialisme), les récits de Cortázar proposent un subtil mélange qui renouvelle le genre et met en échec les théories du fantastique. Sa culture littéraire, hispanique et anglophone, en fait également un redoutable nouvelliste. En prenant principalement appui sur l'un de ses derniers recueils, Nous l'aimons tant, Glenda (1980), l'étude de son écriture met ici en évidence sa maîtrise des genres mais aussi ce qui demeure sous-jacent, à savoir la mise en avant de l'insondable du monde et du moi, de la subjectivité et de son opacité — y compris au travers d'un discours du désir amoureux, peu étudié jusqu'ici —, sans oublier le questionnement sur le contexte politique des années 1970 en Amérique latine que le traitement fantastique rend paradoxalement énigmatique.
Héritiers de plusieurs traditions (littérature gothique, nouvelle fantastique d'Argentine et d'Uruguay, surréalisme, existentialisme), les récits de Cortázar proposent un subtil mélange qui renouvelle le genre et met en échec les théories du fantastique. Sa culture littéraire, hispanique et anglophone, en fait également un redoutable nouvelliste. En prenant principalement appui sur l'un de ses derniers recueils, Nous l'aimons tant, Glenda (1980), l'étude de son écriture met ici en évidence sa maîtrise des genres mais aussi ce qui demeure sous-jacent, à savoir la mise en avant de l'insondable du monde et du moi, de la subjectivité et de son opacité — y compris au travers d'un discours du désir amoureux, peu étudié jusqu'ici —, sans oublier le questionnement sur le contexte politique des années 1970 en Amérique latine que le traitement fantastique rend paradoxalement énigmatique.