Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Des théologiens, des historiens et des philosophes ont estimé que la pensée et l'engagement de ce simple prêtre lyonnais méritaient une réflexion...
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Résumé
Des théologiens, des historiens et des philosophes ont estimé que la pensée et l'engagement de ce simple prêtre lyonnais méritaient une réflexion d'ensemble et leur initiative a reçu aussitôt un écho en Inde. Cet ouvrage propose donc les deux regards croisés, portés sur Jules Monchamin, à Lyon et en Tamil Nadu, en 1995, à l'occasion du premier centenaire de sa naissance.
Il montre comment s'est élaborée, dans l'Entre-deux-guerres, la pensée personnaliste et la spiritualité trinitiaire d'un prêtre, auquel Henri de Lubas a voué une amitié admirative. A partir de témoignages venus du sous-continent indien, il restitue sa dimension de pionnier du dialogue interreligieux, aux côtés d'Henri Le Saux, avec qui il fonda, en 1950, l'ashram du Saccidananda, sur les bords de la Kavéry.
Comme charles de Foucauld, qu'il admirait, il est mort dans le sentiment d'un échec. Pourtant, sa lucidité de médiateur, son immense désir de faciliter la communication entre des univers dont il a éprouvé les inconciliables ont épuré et renforcé sa théologie du christocentrisme. D'où la fécondité à terme de son message, qu'ont soulignée un Michaël Amaladoss et un Pierre Ceyrac.