Jules Ferry et l'enfant sauvage. Sauver le collège
Par :Formats :
Disponible d'occasion :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages313
- PrésentationBroché
- Poids0.33 kg
- Dimensions13,6 cm × 21,9 cm × 1,9 cm
- ISBN978-2-08-133312-3
- EAN9782081333123
- Date de parution27/08/2014
- ÉditeurFlammarion
Résumé
Le collège unique a quarante ans. Il est le symbole d'un espoir, d'une utopie éducative et d'un désastre. Il est tentant de l'abandonner. Ce serait inacceptable - comme renoncer à une promesse démocratique : propose-t-on de rétablir le suffrage censitaire quand les résultats des élections déplaisent ? Avec les années, on a accumulé des protocoles, des gadgets et des slogans, sans tenter d'imaginer une transmission exigeante, élégante et opiniâtre de la culture qui se soucie des élèves tels qu'ils sont.
Or faire un cours sur Charlemagne en 2014 ne ressemble en rien à un cours de 1918 ou de 1975. Au Charlemagne scolaire s'oppose aujourd'hui les Charlemagne parodique, kitsch, youtubaire, qui peuplent l'esprit de nos classes. Ce livre fait un pari: proposer un nouvel âge de l'enseignement. Toute l'Ecole est concernée, pas seulement le collège. Ce serait un art du mélange et de la juste distance. A mi-chemin entre Roland Barthes et Lara Croft, le professeur doit être érudit et bricoleur: pour perpétuer la transmission de la culture et du savoir, il doit descendre de l'estrade, ruser, tout explorer.
C'est le grand enjeu de l'éducation actuelle : il s'agit de trouver les moyens, dans une époque complexe, d'être juste, ambitieux et efficace.
Or faire un cours sur Charlemagne en 2014 ne ressemble en rien à un cours de 1918 ou de 1975. Au Charlemagne scolaire s'oppose aujourd'hui les Charlemagne parodique, kitsch, youtubaire, qui peuplent l'esprit de nos classes. Ce livre fait un pari: proposer un nouvel âge de l'enseignement. Toute l'Ecole est concernée, pas seulement le collège. Ce serait un art du mélange et de la juste distance. A mi-chemin entre Roland Barthes et Lara Croft, le professeur doit être érudit et bricoleur: pour perpétuer la transmission de la culture et du savoir, il doit descendre de l'estrade, ruser, tout explorer.
C'est le grand enjeu de l'éducation actuelle : il s'agit de trouver les moyens, dans une époque complexe, d'être juste, ambitieux et efficace.
Le collège unique a quarante ans. Il est le symbole d'un espoir, d'une utopie éducative et d'un désastre. Il est tentant de l'abandonner. Ce serait inacceptable - comme renoncer à une promesse démocratique : propose-t-on de rétablir le suffrage censitaire quand les résultats des élections déplaisent ? Avec les années, on a accumulé des protocoles, des gadgets et des slogans, sans tenter d'imaginer une transmission exigeante, élégante et opiniâtre de la culture qui se soucie des élèves tels qu'ils sont.
Or faire un cours sur Charlemagne en 2014 ne ressemble en rien à un cours de 1918 ou de 1975. Au Charlemagne scolaire s'oppose aujourd'hui les Charlemagne parodique, kitsch, youtubaire, qui peuplent l'esprit de nos classes. Ce livre fait un pari: proposer un nouvel âge de l'enseignement. Toute l'Ecole est concernée, pas seulement le collège. Ce serait un art du mélange et de la juste distance. A mi-chemin entre Roland Barthes et Lara Croft, le professeur doit être érudit et bricoleur: pour perpétuer la transmission de la culture et du savoir, il doit descendre de l'estrade, ruser, tout explorer.
C'est le grand enjeu de l'éducation actuelle : il s'agit de trouver les moyens, dans une époque complexe, d'être juste, ambitieux et efficace.
Or faire un cours sur Charlemagne en 2014 ne ressemble en rien à un cours de 1918 ou de 1975. Au Charlemagne scolaire s'oppose aujourd'hui les Charlemagne parodique, kitsch, youtubaire, qui peuplent l'esprit de nos classes. Ce livre fait un pari: proposer un nouvel âge de l'enseignement. Toute l'Ecole est concernée, pas seulement le collège. Ce serait un art du mélange et de la juste distance. A mi-chemin entre Roland Barthes et Lara Croft, le professeur doit être érudit et bricoleur: pour perpétuer la transmission de la culture et du savoir, il doit descendre de l'estrade, ruser, tout explorer.
C'est le grand enjeu de l'éducation actuelle : il s'agit de trouver les moyens, dans une époque complexe, d'être juste, ambitieux et efficace.