Juice Casaganthe

Par : Fanny Quément

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  • Nombre de pages96
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.12 kg
  • Dimensions11,0 cm × 18,0 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-493307-14-9
  • EAN9782493307149
  • Date de parution14/02/2025
  • CollectionProse libre
  • ÉditeurQuartett éditions

Résumé

Dans ce premier opuscule, Juice Casaganthe, Fanny Quément travaille non seulement la porosité entre écriture et traduction, mais s'amuse aussi à constamment bousculer les normes linguistiques, en les parodiant, les subvertissant et en recourant à une ironie mordante et une critique acérée, où la mention de "correctionnites" et de "garces erratiques" illustre bien son irrévérence envers les conventions littéraires et linguistiques, mettant en lumière une attitude résolument iconoclaste.
C'est pour notre plus grand plaisir également, qu'elle fait appel à la matérialité de la langue, évoquant à plusieurs reprises des sensations corporelles et physiques, une "langue scotchée" ou bien une "langue à pétrole", au sein d'un texte devenu champ de bataille linguistique où la subversion des normes est une forme de résistance créative. Les "garces erratiques", symbolisent cette insubordination linguistique, transformant chaque mot en une arme de subversion et de réinvention.
C'est sans doute aussi la créativité lexicale effervescente et le jeu phonétique inventif de l'autrice, qui confèrent à sa prose une dimension ludique et expérimentaliste. En inventant des néologismes tels que "aberrationnisthme" et "délitote" ou bien "sopate", Fanny Quément défie les conventions linguistiques et invite le lecteur à une danse langagière où chaque mot est une surprise, où les rythmes et les sonorités des phrases, souvent longues et accumulatives, créent une musicalité unique, rappelant parfois l'oralité et les traditions orales, où les métaphores audacieuses, l'imagerie grotesque et fantasmagorique — qu'il s'agisse d'observer "l'avancée des moisissures" ou bien d'évoquer des ligatures qui "se propagent sous l'effet des hyphes" —, plongent d'emblée le lecteur dans un univers onirique où chaque image est soigneusement choisie pour son pouvoir évocateur.
Au fil de la lecture, la langue de Fanny Quément se révèle non seulement vivante, mais également palpable, offrant une expérience sensorielle où les mots se déploient comme des entités autonomes, avec leur dynamique interne et leur vitalité propre. Lire Fanny Quément, c'est lire une autrice qui dans ce premier ouvrage, a su créer un univers textuel dense, provocateur et multi-couches, où la langue elle-même devient un personnage vivant, capable de défier les rigidités normatives et de réinventer continuellement ses propres règles, où le lecteur est également invité à une exploration audacieuse de la langue, où l'erreur et l'invention se confondent pour redonner à la prose sa vitalité originelle et sa capacité à surprendre et à émouvoir.
Dans ce premier opuscule, Juice Casaganthe, Fanny Quément travaille non seulement la porosité entre écriture et traduction, mais s'amuse aussi à constamment bousculer les normes linguistiques, en les parodiant, les subvertissant et en recourant à une ironie mordante et une critique acérée, où la mention de "correctionnites" et de "garces erratiques" illustre bien son irrévérence envers les conventions littéraires et linguistiques, mettant en lumière une attitude résolument iconoclaste.
C'est pour notre plus grand plaisir également, qu'elle fait appel à la matérialité de la langue, évoquant à plusieurs reprises des sensations corporelles et physiques, une "langue scotchée" ou bien une "langue à pétrole", au sein d'un texte devenu champ de bataille linguistique où la subversion des normes est une forme de résistance créative. Les "garces erratiques", symbolisent cette insubordination linguistique, transformant chaque mot en une arme de subversion et de réinvention.
C'est sans doute aussi la créativité lexicale effervescente et le jeu phonétique inventif de l'autrice, qui confèrent à sa prose une dimension ludique et expérimentaliste. En inventant des néologismes tels que "aberrationnisthme" et "délitote" ou bien "sopate", Fanny Quément défie les conventions linguistiques et invite le lecteur à une danse langagière où chaque mot est une surprise, où les rythmes et les sonorités des phrases, souvent longues et accumulatives, créent une musicalité unique, rappelant parfois l'oralité et les traditions orales, où les métaphores audacieuses, l'imagerie grotesque et fantasmagorique — qu'il s'agisse d'observer "l'avancée des moisissures" ou bien d'évoquer des ligatures qui "se propagent sous l'effet des hyphes" —, plongent d'emblée le lecteur dans un univers onirique où chaque image est soigneusement choisie pour son pouvoir évocateur.
Au fil de la lecture, la langue de Fanny Quément se révèle non seulement vivante, mais également palpable, offrant une expérience sensorielle où les mots se déploient comme des entités autonomes, avec leur dynamique interne et leur vitalité propre. Lire Fanny Quément, c'est lire une autrice qui dans ce premier ouvrage, a su créer un univers textuel dense, provocateur et multi-couches, où la langue elle-même devient un personnage vivant, capable de défier les rigidités normatives et de réinventer continuellement ses propres règles, où le lecteur est également invité à une exploration audacieuse de la langue, où l'erreur et l'invention se confondent pour redonner à la prose sa vitalité originelle et sa capacité à surprendre et à émouvoir.
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